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Allan Scotty Ravenswood

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Anonymous
Invité

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Allan Scotty Ravenswood Vide
MessageSujet: Allan Scotty Ravenswood Allan Scotty Ravenswood Icon_minitimeJeu 25 Nov - 21:22

IDENTITE




Nom : Ravenswood, il n'y a rien à dire là-dessus...

Prénom : Allan Scotty. Le premier fut donné par son père, le second par sa mère.

Nom de code : Flinty Wizard.
Sans raison particulière.

Âge : 19 ans... Depuis fin novembre.

Nationalité : Anglaise.

Orientation sexuelle : Crois-tu qu'il a une réponse à cela, quand il ne pose pas un regard sur une autre personne que sa sœur ?

Métier : Gardien, et c'est déjà bien assez.

Plume : ... Glace.
Spoiler:
.... Passons.

Quartier : Bloody Lane.
Allan Scotty Ravenswood 101111104531875798



CARACTERISTIQUES PHYSIQUES



Il y a de ces jeunes filles qui rêvent encore du prince charmant, beau, grand, blond, sur son blanc destrier. Aussi classique qu'est cette tournure de phrase, et l'homme qu'elle abrite, ce sont des visions qui n'ont point changé. Reste tout de même la grande question, le faut-il avec des yeux bleus ou verts ?

Dans l'immédiat, Allan a tout de ce prince. Une peau pâle, douce, où les sales boutons rougeâtres n'ont pas leur place, voilà ce qui se voit en premier. Cela lui donne un air fragile, de porcelaine, d'enfant, comme s'il n'avait jamais grandi. On dit qu'il ne bronze pas, qu'il ne rougie pas. Certainement sa peau, enviée des demoiselles, ne peut changer de couleur, gardant sa pâleur en toute circonstance. Par contre, c'est bien sa chevelure qui subit les températures et les temps. En été, il est plus blond que les blés, l'hiver, il tire sur le brun clair. Lui s'en fiche, il n'en a cure. Il n'apporte pas de soin, les laissant dans leur état négligé, dans des mèches trop longues lui retombant sur les yeux. Lorsqu'il est seul, il lui arrive de retenir sa lourde frange par un élastique, en mode palmier comme dirait sa mère. Bien sûr, il fait bien attention à ne croiser personne ainsi. Ce n'est point qu'il aie honte, c'est juste que... Cela vous ferait trop plaisir.
Alors, yeux verts ou bleus ? La loterie naturelle a choisi, pour Allan, de lui offrir des yeux bleus. Polaire. Si clairs... On dit qu'ils surprennent. On dit qu'ils auraient pu le rendre magnifique, si seulement ils pouvaient briller. Mais non, il n'y a point de reflet dans ses yeux froids, où seul votre image ose se présenter. On sent, au fond de ses pupilles, son harassement permanent. Et point de teinte ici. Un même bleu, quelque soit la saison et son humeur.
Oh, quand à son visage, il est des plus ordinaires. Un nez droit, fier, mais non imposant trône en son centre. Aux dessus de ses deux yeux, décrits plus haut, des sourcils un peu plus sombres que sa chevelure, qui n'ont rien de fins, ni d'épais.... Banals. Invisibles. Communs. De quoi ? Ah, pardonnez cet écart... Et donc, sa bouche, des plus simples, lèvres doucement rosées, mais que voulez-vous, comme tout le monde, sauf peut-être qu'il s'écorche aisément l'hiver. Alors ne soyez pas surpris, si vous voyez une légère feinte rougie sur ses lèvres... Il en a tellement l'habitude, qu'il n'y fait même plus attention. Et puis quoi d'autres... Un visage ovale, impersonnel. Et surtout, inexpressif.
Et cela ne se voit pas que dans son visage. Son attitude toute entière est la représentation de sa fatigue continue. Il se tient, las, un air je-m'en-foutiste, comme s'il voulait se fondre dans le décors, ou comme s'il y était déjà. Il n'a rien qui attire vraiment l'oeil, autre la blancheur éclatante de sa peau. Et encore. C'est qu'il fait attention. Il porte des tenues longues, aux manches rabattus sur ses poignées, aux bottines montantes sous son pantalon, par sureté, et au col élevé. Oui, un col, un vrai, à l'anglaise, ou à l'américaine parfois. Le col italien est bien trop ouvert, sans compter quand il l'est vraiment. Ses vêtements sont classiques, sérieux, sans un pli. Ils sont bien souvent des variantes du costume, bien que parfois stylisés... Mais toujours, sur lui, avec lui, si discrets. Rien de fluorescents, rien de pétants. Noir, rouge sombre, blanc cassé … Dans les teintes.

Pardon, en résumé ? Allan est discret, banal, mais d'une pâleur presque vampirique. Allan vous fixe méchamment, blasé, lassé, endormi. Allan n'a que faire de vous, cela se sent dans son regard, Allan est hautain, cela se voit. Et Allan serait beau s'il souriait, mais ça... Rêvez toujours.





CARACTERISTIQUES PSYCHOLOGIQUES



Associal, silencieux, réservé, timide... Tant de mots viennent à l'esprit, tant de mots peuvent sembler le définir, en contournant ce qu'il est réellement. La vérité, c'est qu'il repousse l'inutilité. À quoi bon parler, si ce n'est que pour sortir un flot de conneries et de balivernes ? N'est-il pas mieux de se taire un instant ? Ainsi, très certainement, penserons-nous plus juste... Après, cessez d'énoncer quelques idioties, nous permet d'utiliser ce temps précieux à une autre activité bien plus interessante et « intelligente » vous dirait-il... La réflexion. Fermez les yeux un instant, voir le problème sous forme de mots se détachant les uns des autres, comme gravés à l'encre sur vos paupières, puis ajoutez quelques formes, un rond, un carré, un triangle... De verre, de diamant ou de velours, selon. Le résultat est important, mais là, pour le moment, ce qui compte est l'immédiateté. Allan ferme les yeux, voit le problème écrit, aperçoit des formes qui s'ajoutent, et comprend. C'est bête, n'est-ce pas ?
Vous l'aurez compris, Allan aime comprendre... Se retrouver dans une situation qui le dépasse l'énerve plus que tout, bien qu'il ne le montrera pas. L'habitude de paraître fort et sûr de lui ne se brisera pas, même s'il se met à douter de tout ce qu'il touche. Il réfléchira, usera de ses neurones, jusqu'à ce que tout se fasse plus clair... Il a également, ce sale réflexe de toujours avoir des millions d'hypothèses et d'avancer des statistiques... Et si... Et si plutôt... Ou, non, si … Pour 20%... Avec 40% de chances de survie... Quoi de plus angoissant ? Lui n'en sait rien, il trouve là son dernier appui pour garder la tête froide.
Mais pourquoi me direz-vous ? Pour sa sœur. Car la demoiselle est tout ce qu'il y a de plus important. Elle n'est pas qu'une simple et bête sœurette qu'il taquinerai tout en protégeant. Elle est un trésor, sans elle, il serai perdu. N'est-elle pas douce? N'est-elle pas magnifique ? N'est-elle pas splendide ? Il le vous demandera fièrement, de petites étoiles logés dans le fond de ses yeux. Fier de l'exhiber ? Non, mais fier d'en être le frère. C'est la plus belle place, non ? Vous êtes proche d'elle, si proche. Elle vous sourit sans vous remettre sans cesse en question, et cela, ce bête détail, rend Allan des plus comblé. Il la prend négligemment dans ses bras et lui embrasse le front. Voilà, c'est bien la seule à bénéficier d'un tel traitement. Il n'y a qu'à elle qu'il sourit de la sorte, dans un étirement de lèvres coincé, mais bien présent. Il n'empêche... Frôlez la grâce demoiselle, et vous verrez le sol de bien près. Osez l'approcher avec un mauvais dessein en la tête, et le ciel vous visiterez … Oh oui, protecteur ? Et vous n'avez encore rien vu.
De nature, l'Allan n'est pas un humain agressif. Il ne s'attaque pas à tout ce qui bouge sans raison, il ne provoque personne, non, rien. Tout ce qui l'intéresse étant sa sœur, ça réduit à mort les possibilités. Par contre... Par contre, il déploiera toutes ses armes pour vous massacrer et vous torturez si vous blesser la sœurette, physiquement, ou psychologiquement. Il vous fera souffrir, et oui … Loin de moi l'idée de faire d'Allan un GrosBill des plus stéréotypés. Il est incapable de s'attaquer à quelqu'un sans raison, sa morale lui crie dessus. Il peut se faire battre, après tout il ne possède pas la plus forte Plume. Car en dehors d'elle... Le jeune homme... Sait autant se défendre qu'une fillette de 10 ans. Traduire par : à coup d'ongles et de morsures. Oui, ça casse l'image du grand svelte Allan au visage froid et au dos droit. Heureusement que ça n'arrive pas si souvent.
Mais cessons donc de parler de tels horreurs, elles n'arrivent jamais. Ou une fois par an. La belle chose, tiens ! Allan est une personne responsable, et bien qu'il ne porte aucune importance aux autres, il se retrouva vite au poste de Gardien. À partir de là, il a fait son job. Quand il fallait faire une chose, il la fit. C'est tout aussi simple. Il préfère de loin la réflexion, ainsi les seules fois où il va « sur le terrain » comme on dit, c'est pour rester dans la grande bibliothèque de Bloody Lane. Et au passage, aider Eanna, une charmante demoiselle qu'il apprécie assez. Comment, une personne qu'il supporte en dehors de sa sœur ? Oui, ça arrive. Mais jamais il n'aimera bien quelqu'un comme ça, c'est un cas à part. Il y a donc la petite bibliothécaire, une ancienne copine – du moins, la seule avec laquelle il a gardé un assez bon contact – Fen, et... Et... Les autres gardiens avec qui il s'entend... Je crois. Sinon, de nature, il se méfie des enfants et des garçons en mode « Je suis trop un beau gosse ». Ça l'exaspère, et derrière se cache un playboy. Et ça, le chaud lapin, pas bien pour la sœurette … !
Et... Prétentieux, est-il ? Petit paragraphe sur l'éventuelle fierté d'un Allan éduqué – les versions sauvages sont plutôt agressives, fuyez si vous en croisez-. Allan s'estime, c'est certain. Il se sait calme, il se sait réfléchi, il se sait point laid. Mais il n'ira pas se vanter, et ne le fera pas sous-entendre. De ce côté-là, il est assez réservé, n'appréciant peu parler de lui. Et même quand vous l'interroger, il fera tout pour parler d'autre chose, comme... Des réflexions pseudos philosophiques. Oh oui …

Bref. Allan est réservé, parlant peu sauf pour informer. Il n'est pas agressif, seulement distant et méfiant. Il préfère de loin la réflexion, plutôt que de se lancer à corps perdu dans de vaines batailles. Il adore sa sœur, et ne porte pas un grand intérêt pour les autres. S'il est Gardien, c'est pour son côté responsable et obéissant, non pour quelques envies de justice.
Au final, il est assez méprisable et ne cache pas de cœur fondu sous son air de glace... C'est comme ça dedans aussi.







HISTOIRE



Le petit enfant est arrivé dans le cocon familial, il y a 19 ans de cela. Une journée chaude d'été, durant laquelle il ne pleuva pas. La tête blonde fit monter les larmes aux yeux de ses parents. En tant que post-étudiants, gagnant depuis quelques petites années une somme modeste et possédant leur propre appartement depuis peu, l'arrivée d'un bébé était la cerise sur le gâteau : un monde nouveau, un monde beau. Mais il ne fut pas choyé, comme un de ses enfants pourris gâtés ou comme ses gamines qui ne rentrent plus dans leurs culottes. Non. On l'educqua.

Allan s'est révélé être très calme. Peut-être même trop, ce qui alarma les deux parents. Sourd ? Muet ? Autiste ? À vrai dire, les médecins et psychologues arrivaient tous à la même conclusion : il est simplement conscient des méfaits du bruit et il épargne aux autres cette douleur que de l'entendre pleurer. Mais quelle joie lorsque qu'il posa sa première question !
« Maman, papa, je peux avoir un câlin ? »

On lui apprit à lire très vite. Il délaissait trop rapidement les jouets d'enfants, et ne souhaitait jamais sortir – les rares fois où on entendait sa voix crisait -. C'est dans les livres, et l'univers des mots, que l'enfant grandit réellement. Un roman, une autobiographie, des poèmes, des pièces... Il y trouvait un réconfort étrange, bien qu'il préférait toujours aller voir ses parents. C'est qu'il les aimait tant …

La fois où il fut incapable de lire pour une semaine, cela, il s'en souvient bien. Il devait avoir sept ans, peut-être six... Faith est arrivée. Elle était toute petite, toute blonde, plus que lui ne l'était. Elle avait de si grands yeux, et si expressifs ! Et quelle énergie... Allan fut tout simplement fasciné. Lui qui vivait jusqu'alors dans le calme, dans les bras tranquilles de ses parents, il fut boulversé par cette puce rebondissante, qui réclamait pour la tenir en laisse quelques câlins. Il partagea. Et la colla. Une semaine durant laquelle il ne fit que la suivre, comme un scientifique s'attarde sur un nouveau cobaye …

Mais l'amour qu'il dévellopa pour la chose, n'avait rien à voir avec celle du chercheur et de sa découverte. Ni même avec celui de ses parents, non. C'était un amour fraternel sincère, et le bisou d'enfant, qui lui donna sur le front à l'anniversaire de ses propre dix ans, en est la preuve. Il lui fit le serment, ce jour-ci, de la protéger envers tout et contre tous. Plus personne ne la touchera, car lui, son grand frère, à tout jamais, la couvera.

Quand il ne lisait pas, il la berçait dans ses bras. Et quand il ne le faisait pas non plus, il travaillait. Passionnante vie que fut la sienne, cela lui suffisait amplement. Les seules bosses de son plat quotidien, était lors des querelles scolaires. Allan est protecteur. Trop. Et il supporte peu que l'on frôle sa soeur, que l'on songe à le faire. Il n'était pas bien fort, physiquement parlant. Les deux camps en sortaient lourdement endommagés. Mais cela suffisait à faire régner son avis. Il y avait Faith et sa garde rapprochée, lui.

Entre tous ses faits. Entre chaque coup, chaque bataille, chaque dispute, chaque événement, chaque... Entre chaque horreur, la pire fut la disparition de Faith. Tout simplement, tout bêtement. Il est rentré de cours, un jour, et sa mère le lui as dit, paniquée, qu'elle ne trouvait plus sa soeur. Nul part. Alors, ils ont attendu. Aucun des deux parents ne lui autorisa à aller chercher seul. Alors, frustré, en colère, et terriblement inquiet, il ruminait dans sa chambre.

Trois jours plus tard, et Faith était toujours absente. Ses parents ne travaillaient plus. Ils cherchaient. Et lui restait enfermé à la maison. Car on le connaissait bien. On savait pertinemment qu'il serait allé dans chaque maison, de chaque mec suspect, cutter à la main, appliquant ce qu'il a lu à droite à gauche pour avoir une réponse potable : A défaut d'avoir du bambou, le cutter, ça fait mal aussi sous l'ongle.

Il claqua la porte de sa chambre. Il pouvait, personne ne l'entenderait. Il glissa jusqu'au salon. Non, rien. Les fenêtres étaient bloquées. Il fallait s'y attendre. Plus de clés, on avait pris les siennes. Enfermé. Il n'arrivait pas à lire, l'image de la douce blonde lui revenant sans cesse en tête. Et puis, le paquet narquois de son père, de son tabac frais, des filtres dans sa pochette... Il connaissait les gestes, son père les avait tant fait ! Et ce fut là, le seul moyen qu'il retrouve son calme naturel.

Derrière la fumée pâle, les doigts tremblant sur la table, raclant le vernis, les parents loin... Il ne comptait plus les jours, et là seule chose qu'il entenda, qui l'arracha à ses contemplations, fut la sonnette. Quelqu'un à la porte. Il pria pour que cela fut sa soeur, et bien qu'il n'eut pas de clé, il s'y précipita. Mais non. Bêtement le facteur, qui fit glisser sur le sol les factures et les pubs.

Las, il prit le tout. Las, il retourna au salon. Las, il vit tout de même sur le carrelage, tomber une lettre intriguante. Las, il la prit. Las, il l'ouvrit. Las, il lit et appela. Curieux, il dit son nom. Et... Flap. Hop. Boum. Slip. Tout ce que vous voulez. Il tomba, épuisé sur le canapé, leva la main en l'air, fixa ses doigts. Si pâle, si pâle...

Et il tomba là. Ici. Mais pas las. Curieux plutôt, là.

Il n'apprécia pas la lumière. C'est la première chose qu'il se dit « Il y a trop de soleil. ». Il se redressa, non inquiet. Le lieu lui était inconnu et ne ressemblait en rien aux plages de son île natale. Il se leva, son pantalon sombre ensablé. Cela n'allait pas ensemble, cela n'était pas correct. Il fouetta le tissu, plus embarassé par sa présentation que par les lieux. Puis, il visita. Bêtement.

Il avait le sentiment que toutes les solutions étaient ici. Rien que cette plume, tombée de nul part aurait-il cru, en était la preuve. Il avait la sincère sensation que tout rentrerait dans l'ordre ici, et seulement ici. Quelque soit l'horreur des lieux. Quelque soit la pression qu'on exercera sur lui. Quelque soit les épreuves à venir.

Comment il s'intégra n'a pas d'importance. Ce ne sont que des détails, et lui-même n'en a plus le souvenir. C'est sa retrouvaille avec Faith qui marqua. Elle semblait terrorisée, terrifiée, tellement, qu'il en eut le coeur perçé. Il se promit de ne plus la laisser seule, plus jamais, et il lui dit qu'il serait toujours là pour elle, que c'était une promesse, parce qu'il était son frère et qu'elle était sa soeur.

Il travailla comme bibliothécaire. C'était là, le plus calme repos, le seul lieu où il se sentait comme chez lui. Un chez lui, qui ne lui manqua pas vraiment. Sa première peine fut celle d'avoir laissé ses parents, sa seconde de ne plus trouver le même amour ici, et... Ce sont les seules. L'ambiance du lieu, à cette époque, ne le touchait pas. Point sûr qu'il aie bronché, en pleine Russie Soviétique …

Et quoi ? Il a regardé comment les choses allaient, il suivait inlassablement le mouvement. Quand la « paix » s'instaura, que seuls les enfants furent là, il se retrouva propulsé à un rang trop élevé pour lui : gardien. Ou guardian. Allan ne fit pas le moindre commentaire. La « sagesse » qui le caractérisait faisait sa réputation dans Bloody Lane. Et tant qu'on ne lui demandait pas de mener de futiles batailles, tout allait pour le mieux.

La paperasse, les conseils, les réflexions, c'était son job... Comment dire... Sa spécialité.

Il y a eu des filles. En général, c'était rapide, court. La seule avec qui il resta « ami », encore qu'ami est un grand mot pour lui, fut Fen. Elle est gentille, et elle comprend bien. Et elle travaille bien aussi. Ce qui attrista Allan, ce fut bien plus l'éloignement que prit sa soeur. Il se fit rapidement une raison : Elle arrive à un âge où on ne peut plus rien faire.

Bien que depuis peu, il a ce sentiment. Ce doute. Et si … Et si elle savait ? Si elle le détestait pour le lui avoir cacher ? Vous savez, ce secret énervant. Ce secret bête. Ce secret presque traumatisant pourtant. Que Faith n'est pas une Ravenswood.






DERRIERE L'ECRAN



Âge : Secret.

Comment avez vous découvert ce forum ? Je suis co-admin ? <3

Première impression ? ... Lol. :D

Vous pensez être très présent/assez présent/pas trop présent ? : Je passe tous les jours. Après, répondre, c'est selon mon inspi'.... Donc, variable. : D

Autre chose ? ... Genre, on me l'a fait pas. C'est moi qui est écrit le code <3.

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Allan Scotty Ravenswood

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