Matthew, du haut de ses 1m46, reste un garçon plutôt mignon. Avec ses cheveux d’un blond platine, ni trop longs, ni trop courts, coiffés au vent, on peut dire qu’il en fait craqué plus d’une. Il ne prend pas spécialement soin de son apparence (Et non… Pas de spécial K le matin pour garder la ligne :/). Il ne se coiffe pas et ne panique pas, quand il pleut, s’il va friser ou pas. En revanche, il haie les boutons, et comme il est en plein cœur de l’adolescence, il commence à en avoir. Pas une quantité énorme, non plus, mais 2, 3 sur le front et ça s’arrête là. Mais ça le terrifie au point d’en recraché ses cordes vocales quand il en voit un dans le miroir. D’ailleurs, son visage, qui est étrangement similaire à celui d’un enfant de 3 ans, est la seule partie du corps auquel il accorde une grande attention, parce que, selon lui, il n’y a que ça d’attirant chez lui. Il n’a pas totalement tort, après tout, qui irai « mater » un garçon qui ne semble avoir à peine dix ans et qui a une voix aussi douce que celle d’une petite fille ? Heureusement, il s’habille « à la mode »… Enfin, à sa mode. Il a plutôt un genre skatos : Cheveux longs, veste ou T-shirt, jean et Vans ou converse à ses pieds, le plus souvent d’une couleur sombre. Le seul accessoire qui brise toute sa mode, c'est son lapin en peluche rose, qu'il ne quitte jamais. Son style vestimentaire, mis a part la fait qu'il se balade tout le temps avec une peluche, est, aussi, assez attirant. Mais tout reste assez enfantin chez lui, à commencer par son regard qui du plus attendrissant, avec ses gros yeux ronds et marron chocolat mais il y a aussi son sourire qui ressemble plutôt à celui d’un petit garçon qui essai d’être viril.

Matthew est un vrai intello ! Il a, même, des capacités intellectuelles que très peu de gens, de son âge, n’ont acquis. C’est d’ailleurs pour ça, à cause de la mentalité des autres enfants qui sombrent dans un échec scolaire profond, qu’il n’a aucun ami. C’est un vrai passionné de psychologie. Il connait tous les réflexes émotionnels des Hommes (comme dans la série « Lie to me », trop la classe) et a même réussi à contrôler les siens. Il a des capacités d’observations plus élevés que celle de la plupart des Hommes et est très influençant.

Grâce à toutes ses qualités il pourrait être un vrai manipulateur, il y a d’ailleurs déjà songé, mais sa conscience lui en empêche. Ce n’est pas l’homme parfait, il ne voit, ni entent pas tout, ce n’est pas Dieu. Mais qui dit un sens de la vision développé, dit sens olfactif et tactile réduit. Etrange ? Me diriez-vous, puisque ces sens ne sont pas « vitaux » selon vous. Mais lorsque vous ne pouvez pas sentir au touché, comment savez si ce que vous voulez tenir est bien tenu ? Par exemple, vous voulez manger, vous vous servez évidemment de couverts, vous voulez prendre votre fourchette mais vous ne sentez rien, comment savez-vous si vous la tenez bien ? Et qui dit pas d’odeur, dit aussi pas de goût. Heureusement pour lui, ces sens ne sont justes que très peu accessibles.

Matthew est aussi, à son plus grand regret, un garçon trop bon. Et comme le dit l’expression bien connue (que je ne citerais pas), ce défaut, qui peut tout aussi bien être une qualité, lui a joué de mauvais tour et lui en jouera encore malgré qu’il ait pris conscience que ça ne lui apporterait que du mal. Mais il est aussi conscient qu’il ne peut résister à l’envie d’aider les gens.

C’était une nuit glacial. Par la fenêtre, on ne pouvait voir, qu’à peine, les feux des automobilistes prient par les bouchons. Seul un beau manteau de neige s’abattait sur l’hôpital.
Le père de Matthew se tenait, encore miraculeusement debout, le nez pointé vers l’extérieur, attendant, sans grande impatience, la venue d’un autre gêneur. Bien sûr, il devait assister à sa naissance menacé par une simple feuille de divorce. Il savait qu’avec son salaire d’ouvrier médiocre il ne pourrait pas payer la pension. Alors il essaya du mieux qu’il peut pour ne pas se retrouver dans cette galère.
Après des heures de « Poussez, madame ! » et des souffles de chien baveux, madame Lamer réussi à faire sortir l’enfant. Alors Monsieur Lamer dût venir porter les petit, aux ordres de sa femme pour marmonner un petit « Youpi… » .

Matthew n’aura pas vécu une enfance pleine d’amour et d’attention à l’égard de ses parents mais à l’âge de ses 6 ans, il se trouva une autre « maman » lors d’une soirée engueulade organisé par ses fabuleux parents. Malgré son jeune âge, il avait acquis une grande maturité. Il avait toujours était le meilleur de sa classe. Ses institutrices voulaient d’ailleurs le faire sauter d’une classe, pour augmenter le niveau de difficulté scolaire et pour lui apprendre des choses qu’il ne connaissait pas encore. Mais lui ne voulait pas. Il n’avait surtout pas envie de rater quelque chose d’intéressant du programme scolaire. Alors il continua dans ce chemin.

Lors de cette nuit, où les injures bruyantes atteignaient sans grande difficulté les oreilles du petit garçon qui s’était mis à étudier paisiblement les différentes émotions de l’Homme, il prit son cartable, entassa deux T-shirts, un jean, des sous-vêtements et quelques livres au cas où… Il descendu les escaliers de sa luxueuse maison évidemment payé par le salaire de sa mère, il ouvrit la porte et la claqua pour faire entendre à ses parents qu’il partait. Bien sûr, il savait que ça n’atteindrait pas ses parents qui poussaient des cris de sauvage.

Le jeune garçon parcouru, alors, Spring Street, une rue où les boutiques fusent, jusqu’à ce qu’il s’arrêta, appelé par une voix jeune et douce, après Chanel, qui allait fermer ses portes. Il tourna la tête, puis vit une jeune adolescente qu’il trouva à son goût. Brune avec la pointe des cheveux légèrement frisés, des yeux d’un bleu clair à s’y perdre, contournés avec un léger crayon noir. Un nez en trompette et de fines lèvres très charmantes. L’adolescente se baissa à sa taille et lui demanda avec son accent français :
« - Alors ? On part à la grande aventure ?
- Je… Euh… Euhm…
- Ne t’en fais pas, je ne mords pas ! Et je peux savoir où tu comptais aller à cette heure-ci ?
- Je… Je ne sais pas… lui répond-il honteux.
- Mais dis-moi ? Tu ne devrais pas être au lit à cette heure-là ? Tes parents doivent s’inquiéter !
- Mes parents ? Je ne vois pas pourquoi ils s’inquièteraient, ils ne m’ont pas voulu et ne me voudront jamais.
- Mais non ! Tu dis des bêtises. Aller, viens. Je te ramène. Finit-elle par un clin d’œil. »
Envouter par son regard perçant, il la suivit sans rouspéter.

Arriver devant la maison du petit aventurier, l’inconnue regarda d’un air émerveiller par l’imposante maison qu’elle avait devant les yeux. Elle toqua à la porte plusieurs fois en vain… Alors, Matthew, s’avança, monta les 3 marches qui se tenaient devant la porte, et, avant d’ouvrir la porte, fit un dernier petit coucou à la gentille adolescente et pénétra à l’intérieur de sa maison. Mais elle courut vers lui avant qu’il n’est pu refermer la porte puis sortit de son sac une petite feuille de post-it et un gros feutre noir. Elle écrivit un petit mot et lui colla sur le front en rigolant. Puis elle repartie en courant. Sur celui-ci était marqué une suite de numéro, surement celui de son portable et son nom.
Il la rappela le lendemain matin, il n’avait pas école et en profita pour lui passer un petit coucou puis, avec hésitation, lui demanda si il pourrait se balader ensemble. Elle hésita, puis renonça à aller travailler. Après tout, un jour de repos ne lui ferait pas de mal après des semaines de dur labeur.
Ils se revirent de plus en plus, puis Marjolaine (oui, elle se nomme ainsi) décida de prendre en charge sa scolarité après avoir observé l’éducation que donnaient ses parents.

Ainsi, il passa sa petite enfance entre sa maison et le petit appartement que s’était acheté une année plus tard jusqu’à ce qu’il découvre, à l’âge de 14, une lettre s’adressant à lui personnellement sans le nom de l’expéditeur. Il se questionna, supposa d’abord que c’était une lettre d’adieu que lui avait écrit son amie ne pouvant pas recevoir d’invitation à anniversaire ou autre puisqu’il n’a aucun ami sauf Marjolaine. Il inspira un grand coup, puis ouvrit, inquiet. Il découvrit à l’intérieur une lettre puis une plume. Il contempla la plume, se demanda ce que cela puisse bien signifier, un membre de sa famille d’origine Indienne ? Ou des ancêtres natifs-américains ? Enfin, il la garda dans ses mains puis lu la lettre. A la fin de celle-ci, l’adolescent dévala les marches des escaliers puis se dirigea vers le téléphone de la maison. Il composa un numéro. Personne ne savait ce qu’il lui avait soudainement prit. Il était seul dans la maison et aucun voisin n’aurait pu voir à travers leur fenêtre ce qu’il s’était passé, c’était la nuit et les lumières de la maison étaient toutes éteintes. Une petite voix lui demanda son nom, Matthew n’hésita pas, il le donna. Puis il s’écroula au sol, plongé dans un sommeil profond.

Lorsqu’il reprit connaissance, après avoir rêvé de sa merveilleuse rencontre avec Marjolaine, il n’ouvrit pas les yeux tout de suite, comme à son habitude il traina au lit, mais il se rendit compte qu’il n’était pas dans son lit, mais c’était tellement confortable et chaud. Il entendit le reposant bruit des vagues. Il ouvrit les yeux, affolé, releva la tête et regarda autour de lui. Une plage ? Mais… Qu’est-ce qu’il fait sur une plage ? Il ne s’est pourtant pas drogué, ni bu jusque n’en plus être sobre. Il tourna dos à la mer puis contempler le reste de la plage. Le sable se prolongeait jusqu’à perte de vue. Aucune civilisation plus loin. Alors il courut du plus vite qu’il put jusqu’à tomber sur une étrange créature. Elle ressemblait étrangement aux « slimes » qu’il pouvait combattre dans l’un de ses jeux favoris, Dragon Quest, mais celle-ci était jaune, alors que d’habitude elles ont la forme et la couleur d’une goutte d’eau. Il la toucha, puis pris dans sa main et se dit que finalement, il ne fallait pas s’inquiéter puisqu’elle ne lui ferait pas de mal. La créature l’incita à ouvrir son autre main, ce qu’il fit. Il percuta que depuis qu’il était arrivé ici, il tenait quelque chose de doux dans sa main, mais sans s’en rendre compte. C’était en fait, une magnifique plume. Il ne prit pas le temps de la complanter, il la confia au Sporing et reprit la route.

Après plusieurs heures de courses, épuisé, il s’écroula au sol un moment. Il était assoiffé, affamé et fatigué. Il perdit tout espoir. Personne ne viendrait le sauvé. Puis il entendit des pas dans le sable, il releva la tête mais ne vit que les pieds. Il releva encore plus haut et vit une enfant assez timide qui lui fit signe de venir avec elle. N’ayant pas trop le choix il la suivit. Arrivés dans un petit quartier avec un seul bâtiment plus imposant, ils se dirigèrent vers celui-ci où on lui fit signer un tas de papier. Il rejoignit le quartier de Feathers Road.

Cela fait maintenant quelques mois qu’il est arrivé sur cette île regrettant tout de même légèrement Marjolaine et sa bonté. Mais son appartement était aménagé à sa façon, il travaillait durement mais avec enthousiasme malgré les compétences intellectuelles qu’il a et il s’était même fait plusieurs amis.

Âge : 14 cacahuètes volantes !

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Première impression ?Un contexte génial ! Ainsi que le design. Sauf pour les petites miniatures qui décrivent l’endroit où on RP ça fait pas trop manga et, je sais que je suis chiant, dans un design manga on reste manga ! Mais c’est pas plus gênant que ça, je voulais seulement faire une remarque désagréable. (Je suis sûr que ça va me retomber dessus. X_X)

Vous pensez être très présent/assez présent/pas trop présent ? : Je pense être assez présent.

Autre chose ? [Allan : erreur réparée !]