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Do you want a candy ? ♪ [Sébastien Beaumont]

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Anonymous
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Do you want a candy ? ♪ [Sébastien Beaumont] Vide
MessageSujet: Do you want a candy ? ♪ [Sébastien Beaumont] Do you want a candy ? ♪ [Sébastien Beaumont] Icon_minitimeLun 24 Jan - 20:34

IDENTITE




Nom : Beaumont

Prénom : Sébastien

Nom de code : Honey Drums [Batterie au Miel]

Âge : 16 ans

Nationalité : Français

Orientation sexuelle : Hétérosexuel

Métier : Confiseur et Chocolatier à Chocolate Town & Batteur dans le groupe Wonderland

Plume souhaitée : Echange de plumes entre deux personnes

Plume attribuée : Prendre l'apparence d'une autre personne

Quartier : Chocolate Town
Do you want a candy ? ♪ [Sébastien Beaumont] Sebastienbeaumontng



CARACTERISTIQUES PHYSIQUES



Sébastien est plutôt grand, particulièrement mignon avec sa gueule d'ange, et étrangement mince malgré tous les bonbons qu'il avale sans cesse. Sa peau est singulièrement blanche, pour quelqu'un qui passe son temps sous le soleil. Assez spécial, il a, la plupart du temps, des assortiments de sucreries dans ses cheveux blonds coiffés négligemment, allant du marshmallow au chewing-gum en passant par les arlequins, les sucettes ou même les petits ours colorés. Ses grands yeux marron clair lui donnent un air enfantin et s'illuminent chaque fois qu'il voit de la belle marchandise, confiserie comme jolie fille. Son petit nez fin remonte délicatement en trompette et sa bouche aux lèvres minces est toujours remplie d'une quelconque friandise. Son oreille droite, généralement cachée par sa belle chevelure blonde et désordonnée, est décorée de deux piercings représentant respectivement une petite sucette et un minuscule sucre d'orge. Son menton est un peu avancé et lui donne un air fier, presque insolent.
Son cou est bien proportionné, habituellement entouré d'une chaîne en argent à laquelle est accroché un pendentif en forme de réglisse. Ses épaules sont plutôt carrées, tout en restant dans la norme de son corps. Ses bras sont fermes, durcis par les heures passées devant sa batterie à taper comme un malade. Ses poignets sont étroits, et il est facile d'en faire le tour avec le pouce et le majeur. Souvent, quelques bracelets colorés et trop grands y sont accrochés. Ses doigts sont longs, presque squelettiques, mais cela ne le dérange pas. Plutôt habile avec ses mains, Sébastien aime créer des toutes sortes de pâtisseries, confiseries ou petits plats.
Ses pectoraux sont légèrement dessinés, sans plus, et ses abdominaux de même. Pas spécialement sportif, le jeune homme aime tout de même prendre soin de son corps. Avec tous les bonbons qu'il ingurgite, mieux vaut se dépenser ! Ses jambes sont longues, élancées, parfaitement proportionnées. Des pieds normaux, ni trop grands ni trop petits, finissent le tout.

Question vestimentaire, Sébastien s'habille la plupart du temps en décontracté. Un pantalon noir en coton, une chemise blanche aux boutons multicolores accompagnée d'une cravate de couleur défaite, et une veste noire assortie. Voilà un peu comment s'habille le charment jeune homme. Parfois, un jean délavé et un T-shirt bariolé dont l'affaire, le temps d'une sortie ou d'une journée. Mais jamais, ô grand jamais, Sébastien ne sortira sans ses sucreries dans les cheveux ou dans les poches. Si cela arrive, c'est qu'un grand malheur a eu lieu.

Quand le jeune homme se déplace, c'est les mains dans les poches, un léger sourire au coin des lèvres, une sucette au coca dans la bouche. Sa démarche est décontractée, légèrement insolente sur les bords. Ne le cherchez pas trop, ou il sera capable de vous en retournez une. Taper sur quelque chose, c'est sa grande passion …





CARACTERISTIQUES PSYCHOLOGIQUES



Le premier grand amour de Sébastien, ce sont les sucreries. Bonbons en tout genre, chewing-gums, réglisses, marshmallow, nougat et nougatines … Toutes les confiseries bourrées de glucose, de sucre … Tout ce qui est bon à faire des caries si on ne se lave pas bien les dents, à donner du poids si on ne fait pas de sport, à gratifier d'une tonne de boutons rouges sur le visage jusqu'à vous transformer en face de calculatrice. Mais le jeune homme n'a rien de tout ça. Pas une carie, par un kilo en trop, pas de boutons. Juste une peau lisse, un visage presque parfait et une gueule d'ange. L'adolescent adore également créer ses propres gâteries, du cupcake fait maison à la tarte au poire en passant par la galette aux pralines. C'est une véritable passion chez lui, et rien ne viendra l'en détourner.
Le second grand amour de Sébastien, c'est la batterie. Taper dessus un comme un dingue, sans jamais s'arrêter. Créer de nouvelles rythmiques entraînantes, laisser son stress, sa tristesse et sa colère s'échapper en tapant. Toujours, les yeux dans le vague, l'esprit pourtant concentré. Taper sans personne pour l'arrêter, taper pour s'échapper de ce monde. C'est avec sa batterie qu'il oublie ses soucis, avec sa batterie qu'il abandonne son ennui. Sébastien, c'est un véritable champion de la baguette, qu'il manie comme personne. Demandez lui quelque chose, même l'impossible, et il le fera pour vous. Et vos beaux yeux, si vous êtes une jolie demoiselle.
Car le jeune homme est un charmeur, un peu tombeur sur les bords, sans jamais dériver en coureur de jupons. Il laisse les filles venir vers lui, car Môsieur n'a pas que ça à faire. Ses préparations et sa musique passent avant tout. Un sourire en coin à faire craquer les cœurs les plus durs, une réplique parfaitement adaptée à la situation, un petit bonbon habilement dévoilé, et c'est dans la poche. Sébastien les emmènera toutes au pays des rêves avant de les laisser pour sa batterie. Et mêmes si ces demoiselles sont folles de lui, l'adolescent peut être un vrai salopard quand il le veut.
Joyeux la plupart du temps, il adore faire des blagues ou être provocant. Un peu comme une seconde nature chez lui. La discrétion, il ne connaît pas. La modestie, il l'intègre à son vocabulaire de temps en temps. Bagarreur également, il ne cherche pas pour autant les embrouilles. Même s'il préfère amplement s'avaler des kilos de sucreries sans être interrompu, une petite rixe ne lui fait jamais de mal. Rapide et agile, il se faufile entre les bras de son adversaire avant de lui retourner un coup de pied bien placé afin de l'envoyer au tapis. Insouciant, Sébastien ne se préoccupe vraiment que de ce qui l'intéresse vraiment. Les cours, vraiment pas pour lui. La santé de sa mère, de temps en temps, et encore.







HISTOIRE



" On a peine à haïr ce qu'on a bien aimé. "
Corneille

" Il est partit. Il m'a laissé. Je le déteste. Je l'aime. Je le hais. Je l'aime. Je le maudis ! "

La jeune femme jura entre ses dents en regardant l'enfant assis près d'elle. Il n'était pas bien vieux, à peine quelques mois. Ses yeux marrons étaient fixés sur elle. Elle le regardait comme s'il n'était qu'une malédiction, un obstacle jeté sur son chemin. Elle n'avait pas demandé ce bébé, elle n'avait pas demandé ce destin. Elle avait juste voulu une vie paisible avec son copain, ce salopard qui l'avait mis en cloque avant de s'en aller en l'apprenant. Un enfoiré, oui ! Et qu'est-ce qu'elle allait faire maintenant, avec ce gamin sur les bras ? Elle n'avait pas le choix de toute façon, il fallait qu'elle l'éduque. Peut-être qu'au fil du temps, elle apprendrait à l'aimer comme un enfant voulu, désiré depuis longtemps. Peut-être. Elle se dégoûtait elle-même. C'était aussi sa faute. Elle eut l'impression que son cœur se déchirait et elle tomba à genoux, devant le berceau du nourrisson. Des larmes amères coulaient sur ses joues.

" Pourquoi ? Pourquoi ?! POURQUOI ? POURQUOI ?! "

Hurler lui fit du bien. Elle était torturée, divisée. Elle aimait encore ce salaud, elle voulait le prendre dans ses bras et se blottir contre lui pour oublier ses problèmes. Et en même temps, elle le haïssait du plus profond de son être, de son âme. Elle lui en voulait terriblement de l'avoir abandonnée comme si elle n'était qu'une amourette de passage, une jolie fille qu'on prend avant de la délaisser, une vierge sans expérience. Car c'est ce qu'elle était, à l'époque. Deux ans passés ensemble, deux ans à s'aimer réduits en cendre en quelques secondes. Les images lui revinrent en tête et l'effet lui fit comme un couteau qu'on retourne dans la plaie déjà profonde, un clou que l'on enfonce toujours plus loin.

Elle était allée chercher des habits pour l'enfant, car avec Lui, elle s'était dit que tout serait plus facile. Elle souriait, les vendeuses avaient été très gentilles avec elle et l'avaient félicité longuement. Et même si des sentiments contradictoires s'opposaient dans sa tête, elle avait fait bonne impression. Et puis, quand elle était revenue, il n'était plus là. Son côté de penderie était vide, ses chaussures disparues, sa présence envolée. Seules restaient les photos d'eux ensemble, souvenirs douloureux maintenant qu'il n'était plus là. L'appartement paraissait vide et gigantesque, et elle n'était pas sûre de gagner assez d'argent avec son petit boulot pour pouvoir payer le loyer chaque mois, pas sûre d'avoir assez d'argent pour acheter de la nourriture pour s'occuper d'elle et du petit. Elle n'était sûre de rien, au bord du gouffre.

" SALAUD ! "

###

" La vie ressemble à un conte ; ce qui importe, ce n'est pas sa longueur, mais sa valeur. "
Sénèque

Trois ans. Trois ans qu'il était partit. Trois ans qu'elle avait dû changer d'appartement pour prendre un minuscule studio, à la périphérie de Paris. Son maigre salaire de vendeuse en magasin lui permettait tout juste de vivre, et elle enchaînait les autres petits boulots à mi-temps. Femme de ménage, surveillante en collège … Parfois, elle se disait qu'elle pouvait demander de l'aide à ses parents, mais elle savait qu'ils refuseraient. Elle ne s'entendait pas très bien avec eux, depuis qu'elle avait décidé de suivre l'Autre. Celui qui l'avait lâchement abandonné. Ses parents n'étaient pas au courant, et elle savait parfaitement que si elle leur racontait la vérité, elle aurait le droit à leur morale. Et ça, elle n'en voulait pas. Elle était assez grande pour savoir ce qu'elle voulait ou faisait ! A presque 25 ans, elle était pleinement consciente de ses actes.

Elle regarda son enfant, son petit garçon. Sébastien. Beaumont Sébastien. A trois ans, on apercevait déjà le beau jeune homme qu'il serait plus tard. Elle faisait de son mieux pour l'éduquer, lui apprendre les choses comme il devait les connaître. Elle l'avait même placé dans une maternelle, pour avoir plus de temps pour ses travaux divers et variés. Elle savait que là-bas, au moins, les enseignants lui apprendraient à parler à peu près convenablement pour un gamin de trois ans, à écrire et à lire. Comme elle se l'était dit, elle avait appris à l'aimer, ce petit bout de choux attendrissant qui réclamait sans cesse son attention. Très tôt, elle avait remarqué son attirance pour les bonbons de gélatine, facile à avaler pour ses petites quenottes, et elle lui en achetait de temps en temps, quand ses finances le lui permettaient. Elle savait parfaitement que le garçon ne verrait jamais rien d'autre que Paris, et au fond, elle en était désolée pour lui.

###

" Le désespoir comble non seulement notre misère, mais notre faiblesse. "
Vauvenargues

Sébastien eut six ans. Puis sept. Puis huit. Et petit à petit, il voyait sa mère plongée dans un désespoir de plus en plus profond. Il ne comprenait pas, lui. Il n'avait jamais connu son père, mais lorsqu'il avait posé la question, sa mère l'avait sèchement renvoyé dans ce qui lui servait de chambre. Chaque jour, il la remarquait allongée sur le canapé, dans la même position que la veille, dans une nuisette noire trop longue et une veste de la même couleur. Ses cheveux étaient sans cesse décoiffés, désordonnés et négligés. Elle ne prenait plus soin d'elle, ne se maquillait plus, ne souriait plus. Le jeune garçon, qui était passé de justesse en CE2, avait pris l'habitude de sortir en ville pour aller s'acheter toutes les sortes de sucreries qu'il affectionnait particulièrement. Les sucettes au coca, les chewing-gums à la cerise, pour ne citer que ça. Sans vraiment s'en rendre compte, il commença à insérer ces morceaux de sucre dans ses cheveux blonds, presque aussi désordonnés que ceux de sa mère. La seule différence étant que lui, c'était fait exprès. Achetant quelques ingrédients de temps en temps, avec le peu d'argent que sa mère lui donnait à l'occasion, il fabriquait ensuite dans la petite cuisine tous type de gâteaux ou pâtisseries. Pour aider sa mère à financer le loyer, il eut l'idée d'en faire un petit commerce, qu'il tenait tous les vendredis soirs, au pied de son immeuble. Au départ, il n'avait pas eu beaucoup de clients, les passants étant peu intéressés par la marchandise d'un gamin âgé seulement d'une petite dizaine d'années. Mais peu à peu, sa clientèle se fit plus variée, plus nombreuse, et il gagna plus d'argent. Certes, il ne vendait pas très cher, mais cela lui rapportait une certaine fierté.

Parfois, quelques racailles essayaient de lui voler quelques unes de ses œuvres culinaires, mais jamais Sébastien ne se laissait faire. Une droite dans la tête, et l'autre était K.O. Sa mère était toujours aussi dépressive, ne bougeant de son canapé que pour chercher une canette de soda dans le petit frigo que le garçon prenait soin de toujours remplir. A douze ans, il entra au collège avec une moyenne plutôt basse. Ses professeurs n'étaient pas au courant des problèmes de sa mère, et prenaient tous le jeune homme comme un garçon extraverti, polisson, mais doué pour la cuisine. Les devoirs, les cours, ça ne l'intéressait pas plus que ça. Sa présence en classe se fit de plus en plus rare et sa mère ne s'en souciait pas.

Le seul cours où Sébastien faisait honneur de sa présence à chaque fois, c'était le cours de musique. Dans la salle, il y avait une batterie, de celle qu'on trouve dans tous les collèges. La première fois qu'il en avait vu une, il avait été presque impressionné, subjugué. Il s'y était installé, et il avait joué. C'était la première fois, mais il avait laissé l'instinct prendre le dessus, secondé par ses sentiments. Pour la première fois, il avait laissé échapper sa colère, sa frustration, sa tristesse, son stress de devoir toujours réussir à la place de sa mère. Ses camarades de classe avaient été impressionnés, et Sébastien conquit. Le professeur lui avait alors proposé de lui laisser la salle de musique tous les jours entre midi et deux heures, pour qu'il puisse s'entraîner. Proposition que le jeune adolescent avait tout de suite acceptée.

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" Les passions sont les vents qui enflent les voiles du navire ; elles le submergent quelquefois, mais sans elles il ne pourrait voguer. "
Voltaire

La musique devint une véritable passion pou Sébastien. Chaque jour, il passait ses pauses de midi sur la batterie, à taper. Toujours taper, évacuer, se laisser emporter par le rythme. Il apprenait seul, s'améliorant sans cesse, intriguant de plus en plus les professeurs. Il continuait de cuisiner et ses deux passions se mélangèrent à sa vie. Les filles tombaient comme des mouches devant ce jeune homme de maintenant quinze ans, beau comme un dieu et qui jouait de la batterie comme un dieu. Il maniait à perfection les baguettes, s'autorisant quelques sauteries de temps en temps. Ses rythmes emplissaient chaque jour le collège, et un groupe de fans se forma. On lui proposa d'être dans un groupe, et il accepta, pour voir comment ça faisait. Il ne s'occupait presque plus de sa mère, vérifiant de temps en temps si elle mangeait ou même, si elle était encore en vie. Il se produit en concert avec son groupe, gagna de l'argent et s'éleva parmi les stars du collège. On l'appelait le Dieu de la Batterie, et toutes les filles lui courraient après. On le jalousait, on l'aimait, on le haïssait, on l'admirait. Son style était toujours aussi étrange, ses bonbons dans les cheveux, les mains dans les poches, bagarreur, provocant.

###


" Ce sont les événements qui commandent aux hommes et non les hommes aux événements. "
Hérodote

Et puis, comme chaque vie qui se déroule à peu près normalement, il doit y avoir un évènement perturbateur. Celui qui change tout, qui bouleverse tout. Et ce changement se trouva en la personne de l'assistante sociale. Sébastien n'eut pas le temps de comprendre qu'on le plaça à l'orphelinat, le séparant de sa mère dépressive. Il ne savait pas comment la femme avait pu être au courant de ses problèmes, mais elle était là, souriante, comme si elle s'attendait à ce qu'il lui fasse confiance et l'aime. Elle venait perturber sa vie, ses projets, ses habitudes. A l'orphelinat, il ne pouvait pas cuisiner, pas sortir. Seule la batterie l'attendait au collège, sage. Et il continuait à décharger tous ses sentiments sur les caisses et les cymbales.

Et puis, il y eut la lettre. Il avait d'abord cru à son père, mais c'était tout bonnement impossible. Il ne savait pas comment la lettre était arrivée ici, mais il l'ouvrit. Esplumoir. Quoi ? Il lut la lettre rapidement, et appela le numéro. Pourquoi ? Aucune idée. Il s'endormit et avant même de toucher le sol, il avait disparu.

###

" N'entretiens pas l'espoir de ce qui peut être espéré. "
Pythagore

Sébastien ouvrit les yeux. Il était allongé sur du sable chaud et doux, sur une plage ensoleillée. Où était-il ? Mort ? Il se pinça. Non, vivant. Mais où ? Devant lui, la mer s'agitait faiblement, et les vagues se déposaient doucement sur la berge. Il se leva alors qu'une plume tombait doucement du ciel. Blanche, scintillante presque, captivante. Elle se posa délicatement sur sa paume, et il eut l'impression de sentir quelque chose remonter du plus profond de son être jusqu'à la surface. Etrange sensation. Ne voulant pas rester ici, il bougea et s'éloigna de l'eau.

A la mairie, qu'il avait trouvé par hasard, ils lui expliquèrent où il était. Esplumoir, une île merveilleuse. Une île où les habitants sont des enfants dotés de dons magiques : des plumes. Ils lui donnèrent un logement, l'autorisèrent à avoir sa propre boutique de confiserie, et le libérèrent dans la nature. D'abord, il commença par reprendre ses activités pâtissières, et de nouvelles sucreries remplirent bientôt la vitrine de sa boutique. Parfait ! C'est là qu'il rencontra James et Pleasance, avec qui il intégra Wonderland en tant que batteur. Ses rêves réalisés, il ne lui restait plus qu'à survivre.






DERRIERE L'ECRAN



Âge : Beuuh :P

Comment avez vous découvert ce forum ? Devinez ! \o/ [DC]

Première impression ? J'aime !!!!! ♥

Vous pensez être très présent/assez présent/pas trop présent ? : Présente, comme d'hab'.

Autre chose ? Euuh … J'adore cette joulie comptine, vous savez là … ♪ [Validé par Allanquiatroplaflemmedecherchersoncodecouleur pouet]


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MessageSujet: Re: Do you want a candy ? ♪ [Sébastien Beaumont] Do you want a candy ? ♪ [Sébastien Beaumont] Icon_minitimeMer 26 Jan - 15:07

Ouais, je double post ! Et alors ?
Tu veux un bonbon pour m'excuser ? :D /pan/

Non, mais juste pour dire que j'ai fini, que Becky-chan ♥ peut rendre son verdict, et que j'espère qu'elle me lynchera pas trop parce que ben voilà quoi. ♪ /porte/
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Aria Silvery
Aria Silvery

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MessageSujet: Re: Do you want a candy ? ♪ [Sébastien Beaumont] Do you want a candy ? ♪ [Sébastien Beaumont] Icon_minitimeMer 26 Jan - 16:26

[Comme promis, c'est la première fiche que j'ai lu en entier, applaudissez \o/ // VLAN !]

Aliiiiiiiiix ♥
Moi j'aime, c'est bien écrit, j'ai pas décroché *o*. *Si Becky elle te valide pas je l'enferme dans une pièce avec Ekzael, na ♥// pan !*




[Et je dis, Aria va devenir une groupiiiiiiie x3 *sort ♥*]
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Becky Bloom
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MessageSujet: Re: Do you want a candy ? ♪ [Sébastien Beaumont] Do you want a candy ? ♪ [Sébastien Beaumont] Icon_minitimeJeu 27 Jan - 16:19

Aria, I'm Schoked que tu t'imagines des scènes pareilles .____.
Becky est qu'une enfant. Brutale, oui. Petite, oui, mais vous le direz pas hein.
A part de vouloir mourir 8D

Désolée pour le retard. Ouai, je sais c'est inacceptable et toussa.
Mais bon, je suis tombée malade. 3 jours cloitrée à la maison.
Et je suis même pas censée pouvoir toucher le clavier de l'ordi.
Et oui ! Je devrais être au lit là xD

Bon.
Alors j'ai lu, et j'ai bien aimé 8D
Ca respectait totalement ce que je pensais de lui, et je suis même très heureuse que tu te le sois approprié un peu aussi à ta sauce. Bon, je te valide.

N'oublie pas de réserver ton avatar et de créer ta fiche de liens.
Enfin, bon, tu connais le chemin, hein ♥

Kyuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh ~ ♪

Edit by Aria L'Inutile : mais quelle genre de scène Becky ? ♥
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MessageSujet: Re: Do you want a candy ? ♪ [Sébastien Beaumont] Do you want a candy ? ♪ [Sébastien Beaumont] Icon_minitime

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