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| Sujet: ★ Foster Starbuck || The END Sam 28 Mai - 3:59 | |
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Nom : Starbuck Prénom : Foster Nom de code : Cookie Monster Âge : 13 ans Nationalité : Américain (USA - Colorado) Orientation sexuelle : Inconnu Métier :- Assistant tatoueur:
En gros, non, il ne tatoue pas -il aurait pas les nerfs assez solides. Il se contente d'assister Scarlett lorsqu'elle a besoin. Il va lui acheter de l'encre, lorsqu'elle en a plus, il va lui acheter des aiguilles, il... tient l'agenda des rendez-vous de son maître la jeune tatoueuse. Puis, il l'aide à monter son stand, à coller des affiches... C'est son larbin, en quelque sorte. Avant de rencontrer la miss, il était homme à tout faire.
Plume souhaitée :- Pierrot:
Ici, le principe est le même que la première plume, sauf qu'au lieu de rire, vous pleurez. Tout vous semblera... triste. Du moins, les larmes tomberont telle la pluie tombe du ciel. Comme l'autre, il ne suffit qu'entendre le mot, la phrase ou peu importe et les larmes coulent. Si vous n'entendez que la demie du mot et bien vous aurez une larme de crocodile, sans plus.
Plume attribuée :- Clown:
Clown, par son nom un peu crétin, cette plume permet à son possesseur de faire rire son entourage. Une plume qui fait envie à tous humoristes en fait. Le principe est simple. Lorsque le détenteur, ici Foster, parle et que la plume est activée, la victime rit. Elle est obligée de rire, même si ce n’est pas drôle. Même si le seul mot qui a été prononcé est « bonjour » ou « merde » ou « j’ai fait tomber mon sandwich ». La plume affecte seulement les gens qui sont assez près pour entendre les mots prononcés. Donc si par exemple vous passez par là, et que vous entendez le « wich » de « sandwich », alors vous allez rire jaune…
Sinon, vous pensez que cette plume est inoffensive ? Vous vous trompez. Vous riez à un simple « bonjour » alors imaginez votre réaction quand la personne lancera une « vraie » blague. Vous vous tordrez de rire. Et si le détenteur est sadique, il vous balancera blague après blague, ce qui causera votre mort. Une mort terrible. Genre, vous riez, riez et oubliez de respirer et bang, vous mourrez de rire. Sympa, non ? Mais comment contrer cette plume de la mort qui tue ? La réponse : achetez des bouchons pour vos oreilles. La plume n’agit que si vous entendez la voix du détenteur.
Malheureusement pour lui –et son entourage, Foster n’a presqu'aucune maîtrise de son don. En fait, l’avantage, c’est que vous n’avez aucune chance de crever de rire. Le désavantage, c’est qu’aléatoirement, vous courez des crises de rire hystérique. Mais ne vous inquiétez pas, généralement, cela ne dure pas assez longtemps pour tuer.
Quartier : Chocolate Town | |
• CARACTERISTIQUES PHYSIQUES • « - Dis, pourquoi on s’attaque à Starbuck ? - Ben… parce que c’est un minus. Il est faiblard et, euh… - Je vois ! Je croyais que c’était parce qu’il était naïf, influençable et légèrement hypocondriaque ? - … C’est pour ces raisons-là aussi. Si tu sais, pourquoi tu demandes ? - Pour être sûr ! Mais au fait, ma maman m’a dit qu’il ne faut pas martyriser les plus petits que soi. - … Juste, tais-toi, ok ? »
Foster, il n'est pas très grand. Le jeune homme doit faire environ un mètre cinquante, ce qui est, tout de même, raisonnable pour un gamin de treize ans. De plus, il a une stature chétive et fragile. Notons que son absence de musculature n'aide en rien. La question qui vous vient à l'esprit : mais, ce minus peut-il soulever des brindilles ? Et bien, oui. Il peut. Il peut même soulever des trucs de vingt kilos comme tous autres mâles. Détenteur d'un teint laiteux, l'absence de soleil du Colorado ne l'a pas beaucoup aidé.
Foster a des cheveux couleur argenté. Sa frange est séparée en deux mèches, plus épaisse vers la droite, encadre son visage plutôt triangulaire. Sinon, avez-vous déjà vue un poulpe ? Oui, non ? Bref, la créature qui possède environ huit pattes et qui vit dans la mer ? Prenez en un, coupez-le en deux et collez-le derrière la tête de quelqu'un et vous obtenez la forme des cheveux de Starbuck Foster. Si cela ne vous suffit pas : le gamin a les cheveux courts, méchés, qui pointent vers la gauche, un peu plus à gauche, presqu'au centre, au centre, presqu'à droite, un peu plus à droite et à droite. Pour ses yeux, oui parlons-en. Ils ont cette forme spéciale. Une forme qu'aucun autre morveux ne peut avoir. Ils ont une forme rectangulaire, assez sympathique. Ce qui est marrant avec la forme, c'est qu'habituellement, on voit la demie des pupilles. La couleur est un étrange mélange de gris, de bleu et d'encore du gris. Et il a des sourcils qui imposent le respect. Bref, il est unique, ce garçon.
Donc finalement, son style vestimentaire. Rien de bien compliquer. Il porte ce qu’il aime. Ce qui comprend des t-shirts, des vestes, des sweatshirts, des pulls, des shorts, des pantalons, bref à peu près tout ce qui est portable par un mec. Pour finir sur une belle note : Foster, il aime porter du bleu, du noir, encore du bleu, du bleu pâle, du jaune et encore du bleu.
• CARACTERISTIQUES PSYCHOLOGIQUES • «- Ça y est. Je l’ai ! - Quoi ? - Ma vasectomie. - Oh, sérieux ? - Non, débile, l’horaire journalier de Starbuck ! - Ah...! Mais ça ne fait pas un peu stalker ? - Mais, non. Avec ça on va pouvoir l’embêter encore plus. - … - Par exemple, regarde ça… - À 7 h 30, il se réveille ? - Ouais et à 7 h 35, il se brosse les dents. Génial, non ? - Non, pas vraiment, je ne vois pas ce qu’il y a de bien à se brosser les quenottes. - ... »
Foster, il est comme un personnage de jeu vidéo : il est mortellement prévisible. Il suit une routine invisible écrite dans le ciel. Un peu comme un automate programmé pour effectuer tels ou tels tâches. Habituellement, le réveil matin le tire du lit vers sept heures et demie. Vers trente-cinq, c'est le brossage de dent, suivi par le petit-déjeuner à quarante-cinq. D'autant plus, sa monotonie routinière ne touche pas seulement ses gestes, mais ses paroles, aussi. Prenons l'exemple d'un mmorpg. Dans certain, le joueur doit sélectionner des paroles pré-faites et les sortir lorsque le moment est opportun. Et bien, Foster est comme ça. À chaque fois qu'on lui demande s'il va bien, il répond la même chose, mêmes mots, même ton. Si on lui demande si on peut lui emprunter un truc, la réponse sera encore la même -qui est à coup sûre « oui, pourquoi pas ? ». Bref, passer dix personnes avec la même question, il servira toujours la même réponse.
Alors, que pourrait-on dire ? Vue sa situation familiale, on pourrait qualifier le jeune homme de... naïf. Non, pas une naïveté imbécile, mais une naïveté enfantine. En fait, il est encore un enfant qui a encore tant de choses à découvrir sur la société et son fonctionnement. Par ce fait, comme déjà dit, il ne refuse pratiquement rien et pour lui la notion de « mal » n'existe pas. Par contre, là où le mal n'existe pas, la peur prend le dessus. Car, Foster Starbuck est un grand peureux. Il a, dans les limites du possible, quasiment peur de tout. Victime de peurs irrationnelles, même le simple « bouh ! » ou la main sur l'épaule pourrait provoquer une crise cardiaque chez le jeune homme. Confronté à ses craintes, le Foster sauvage est en face à deux réactions possibles : un, la paralysie. Paralysé par la peur, le Foster n'ose faire le moindre mouvement. Il est pris de sueur froide et son cœur bat à mille à l'heure. Le seul moyen susceptible de le sauver est qu'une âme charitable le débarrasse de la source de sa peur. La seconde réaction, qui est à coup sûr, la pire, se déroule en deux phases : la première, l'angoisse le ronge, les sueurs froides l'assaillent, l'hyperventilation l'attaque. Seconde phase : il oublie de respirer, son cœur s'arrête temporairement et son visage se transforme en fontaine. Il peut, éventuellement, finir par mouiller son froc. Pour l'aider, veuillez voir la solution un peu plus haut -et prévoyez un défibrillateur cardiaque au cas où.
On peut dire que le garçon a, relativement, les nerfs fragiles. En fait, pas seulement ses nerfs. Il est fragile. Si on en revient à cette histoire de bien et de mal, on remarque que l'absence de notions de « mal » dans la vie du sujet s'avère être une chose dangereuse. En effet, Starbuck a pour idée, que tout le monde est bienveillant, tout le monde est gentil et tout le monde lui veut forcément du bien. Mais dans son monde, où le mal n'existe pas, la notion de « tristesse » existe belle et bien. Foster, il est sensible. Quand un animal se blesse, quand maman et papa se battent, quand le Titanic à coulé, tous ces moments-là brisent le coeur du petit Foster. Contrairement à la norme, il s'est mis en tête de défier ces moments et de sourire, de rire, de mettre de la joie. Ironiquement, quand une situation est trop heureuse, les larmes lui montent aux yeux -à noter que même s'il essaie très fort, parfois il n'arrive carrément pas à suivre son mentra. Aussi quand, Foster, quand il ne comprend pas une situation, se fait des films. Il peut penser qu'une simple accolade peut mener à des sentiments plus amoureusement poussés.
Socialement, le sujet a de la difficulté à savoir quand une relation change. Par exemple, il ne sait pas quand il peut appeler « Charlotte » par son surnom, il ne sait pas quand « Bérangère » et lui ont dépassé le stade de « connaissance » pour franchir celui « d’amis ». Et donc, il préfère entendre directement de la bouche de « Bernard » qu’ils sont devenus meilleurs amis. Bref, vous voyez le genre ? Outre cela, il a tendance à suivre, à coller, à parasiter les gens. Puis, quand un Foster vous à dans ses coups de cœurs, soyez sûr que vous n’aurez plus jamais une seule minute à vous. Car, voyez-vous, le Foster est un petit animal qui a besoin d’attention et qui, quand il met la main sur la personne idéal, il en devient dépendant. Dépendant à un point tel que… cette personne n’est… pas loin de représenter une divinité à ses yeux. Et avec lui, vous apprendrez que c’est en effet possible de se droguer à quelqu’un.
Pour conclure, ajoutons que malgré sa nature « poule mouillée » et sa timidité, le Starbuck sauvage peut, contre toute attente, soulever des montagnes lorsqu’il se retrouve dans une situation inconfortable ou lorsque sa « drogue humaine » aka « son dieu » se retrouve dans le pétrin. Puis, qu'il est pratiquement toujours de bonne humeur!
« - Il paraîtrait que les Starbuck ont un enfant. - Ils en ont un. - Alors, les rumeurs sont vraies ? Pourtant, je n’ai jamais vue leur gosse dans le coin… - Justement, c’est ça le problème : l’enfant. Personne ne l’a jamais vue, ni même entendue, ni rien, quoi. - … Tu viens de dire qu’ils en ont un… ? - Ils en ont un, oui, mais, l’imagination, c’est un truc sympa qui ajoute du piquant dans une vie monotone… - Donc, tu insinues que les Starbuck, en fait, ils bluffent ? - Exacte. - … Mais, ça leur sert à quoi de s’inventer un enfant ? - Avoir de l’attention.» PART I: M Y T H E Dans la petite communauté d’Aspen, un mythe régnait : celui de Foster, le mythe. Mythe, car la population ne croyait simplement pas à son existence. On ne pouvait pas la blâmer : comment croire à quelque chose qu’on n’a jamais vue ? Plusieurs pensaient que Foster était le nom attribué à cette douce illusion capable de combler le vide dans la vie de parents sur le seuil de l’hystérie. Il faut dire, Karl Starbuck ne faisait aucun effort pour rendre son récit crédible. Les discutions qu’il entretenait avec la population allaient souvent comme suit : « - Comment va ton bonhomme, aujourd’hui ? - Foster ? Il va bien. Il va très bien, même ! - Tant mieux, au fait, quand pourrais-je lui rendre visite ? - … - Quoi ? - … C’est que… - C’est qu’il n’existe pas? - … - … Je prends ton silence pour un oui. - Non, non, il existe. Foster existe. Ce matin, par exemple, on a joué à cache-cache, puis je l’ai trouvé en train de gruger une patte de chaise. Mona n’était pas trop contente, mais c’était mignon comme scène. - Donc, je peux le voir ? - … Non, il n’est pas assez prêt pour faire face au monde. - Ouais, c’est ça. Bref, j’ai hâte que tu retournes dans le vrai monde, mon vieux.» PART II: R É A L I T É Contre toute attente, Foster Starbuck était réel. Sa vie débuta, un 5 décembre, alors qu’une tempête frappait Aspen de plein fouet. Ne voulant courir aucun risque inutile, Mona Starbuck avait préféré rester à la maison plutôt qu’aller à l’hôpital. Une décision qui scella le destin de son enfant. En effet, en préférant rester chez elle, la jeune femme était loin de se douter qu’il y aurait des complications et que son bambin manquerait d’air. Le choque de perdre l’enfant fut si terrible que cela plongea le couple dans une profonde paranoïa. C’est ainsi qu’ils prirent la décision de ne jamais laisser leur enfant seul. L’enfance du gamin fut composée de sucres, d’épices et de tas de bonnes choses. Une routine apparut lorsque Foster atteignit les 5 ans. Le matin, papa le réveillait, il déjeunait avec sa famille, maman jouait avec lui pendant que papa allait travailler pour rapporter de quoi faire vivre la petit famille. L’après-midi se composait d’émission pour gamin, déjà visionné par sa mère qui s’assurait qu’il n’y avait rien de choquant. Le soir, il y avait des jeux, papa rentrait, ils dinaient, jouaient, puis sa mère l’amenait au lit, lui lisait une histoire. Et le lendemain était pareil, sauf quelques variantes. En fait, sa vie ressemblait à un film que l’on rembobinait à chaque soir pour le rejouer le matin. Foster aimait bien ce style de vie ; après tout, il ne pouvait pas faire autrement. Comment aurait-il pu se plaindre de sa situation alors qu’il n’avait vécu que cela ? PART III: F O S T E R Lorsque les pieds de Foster Starbuck frôlèrent le sol rocailleux de l’entré de sa demeure, il était âgé de 7 ans. Plusieurs voisins furent estomaqués, ce qu’ils avaient pris pour une blague de mauvais goût depuis si longtemps se trouvait désormais devant leurs yeux. Cramponné à la jupe de sa mère, une multitude de sentiments de bousculait dans l’esprit du petit Starbuck. D’abord, de l’exaltation. Le monde extérieur était si différent de ce qu’il s’était imaginé. Tout était plus coloré, plus vivant. Ensuite, il y avait de l’angoisse et de la peur. Tous ces visages inconnus qui affichaient soit un air indigné, soit indifférent, soit impassible… La visite en monde extérieur était une explosion de sentiments nouveaux. Et c’était un peu trop pour le pauvre bambin qui éclata en sanglot devant une foule embarrassée. Les premiers jours en société ne furent pas de la tarte. Dès les premiers jours, les gens étaient attirés par le phénomène qu’était Foster. Les gens, comme des enfants regardant une bête de foire, trouvaient intéressant de voir les diverses réactions du gamin face aux petits bonheurs de la vie comme danser sous la pluie, regarder les nuages, cueillir des fleurs, se faire des amis… Sachant que les parents du petit n’étaient jamais loin, personne n’osait vraiment le contrarier et l’embêter. Puis, qui avait envie d’intimider une bête si mignonne et divertissante ? Les jours passèrent, les semaines aussi. Les gens s’étaient rapidement lassé de leur nouvelle attraction que quasiment plus personne ne lui accordait d’attention. Qui dit 7 ans, dit première année à l’école élémentaire. Monsieur et madame Starbuck avait jugé que d’envoyer leur progéniture au jardin d’enfant était une perte de temps et d’argent. Selon eux, le jardin d’enfant ne servait qu’à apprendre les bases à l’enfant, or, Foster, sous les soins des ses parents, avait déjà appris à compter jusqu’à dix, à faire les lacets de ses chaussures et savait réciter l’alphabet de A jusqu’à M. Ce qui, selon eux, n’était pas si mal. Et ceci fut la seconde plus grande erreur de leur vie. Parce que, tout le monde sait que le jardin d’enfant, c’est la base du social. Mine de rien, les enfants apprennent à communiquer, à se faire des amis et tout ça. Donc, le premier jour d’école fut ordinaire : « - C’est quoi ? - Ça, Foster, c’est une craie. - Et ça ? - Craie. - Et ça ? - Encore une craie. - Pourquoi est-ce qu’elles ne sont pas blanches comme la première ? - Parce que. Les craies, ça peut être de toutes les coul… Eh, non, ôte ça de ta bouche ! » Lassé par les questions niaises de son élève, miss Hawkins avait décidé que ses protégés avaient bien mérité une pause. Donc les mômes prirent le goûté. « - Dis, Foster, pourquoi tu ne manges pas comme nous ? - Ma maman a dit qu’elle ne faisait pas confiance à l’école. Maman m’a fait un goûté rien que pour moi ! - C’est quoi, ça a l’air bon. - Maman a dit que c’était plein d’amour. - Dis, dis, je peux goûter ? - Oui. » Puis, un autre môme vint, puis un autre et petit Foster se ramassa sans goûter. Depuis ce jour, les gentils camarades de classe découvrir l’étonnant pouvoir de la cruche qui disait jamais non. Alors quand un échappait son machin dans la boue, qui appelait-on ? Starbuck. Quand un petit téméraire s’amusait à tirer les cheveux de sa camarade, qui accusait-on ? Starbuck. Et ce fut ainsi tout le primaire durant. Ne vous inquiétez pas, le principal concerné ne se rendait pas vraiment compte des méchancetés des autres et puis, il prenait tout cela comme des bonnes actions qu’il rendait à la société. PART IV: E S P L U M O I R Lors d’une belle matinée d’Août, âgé de 12 pommes de pin, Foster Starbuck découvrit une lettre, blanche immaculée, qui gisait dans l’entrée. Il avait souvent aperçu sa mère en train d’en ouvrir. Poussé par la curiosité, il tenta d’imiter sa mère au mieux de ses souvenirs. ________ Le soir même, lorsque monsieur et madame Starbuck ouvrirent la porte de leur domicile, ils sentirent un vide. Ils hélèrent le nom de Foster, mais n’eurent que le silence pour réponse. Ce soir là, Mona Starbuck fondit en larme. Ils avaient échoué leur seul mission : protéger, coûte que coûte, leur fils unique. Âge : 17 ans, mental de 10.
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Autre chose ? [Okay by Ari-a ♥][& Fiche reprise par Alix-l'innocente ♥][Feat Becky la tigresse cinglée] Et Scarlett est d'accord pour que Foster soit son esclave o/
Dernière édition par Foster Starbuck le Mar 31 Mai - 4:41, édité 23 fois |
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