Philippe-Louis est d’un naturel dragueur, mais il ne va jamais très loin, car il finit toujours par se rendre compte que la fille en face de lui n’est pas la fille idéale qu’il recherche. C’est en réalité un grand romantique à la recherche de la femme de ses rêves, qu’il n’a malheureusement pas encore trouvée. Il est très sociable, ouvert et facile à vivre. Un type bien quoi. Les gens sont en général très à l’aise très rapidement en sa compagnie, d’autant plus qu’il tolère s’adapte à toutes sortes de caractères. Mais la modestie ne fait pas partie de ses qualités, il a une énorme confiance en lui. Pas spécialement prétentieux mais il se trouve naturellement beau et trouve normal d’être servi, chose qui lui vient de son éducation bourgeoise. Celle-ci l’a également rendu très délicat, il ne supporte pas d’être séparé de son petit confort, ni d’avoir une chemise froissée. Il va de soi qu’il n’aime pas le camping et la moindre trace de poussière en général, ce qui lui a valu d’être longtemps traité de « chochotte » et « fillette », quand il était petit et se mettait à pleurer lorsqu’on le bousculait à peine. C’est également un flemmard de compétition, qui préfère mourir de déshydratation plutôt que de se lever pour aller chercher un verre d’eau.

En ce qui concerne ses intérêts, les deux principaux sont la pâtisserie et son chat Bidonville. Il apprécie particulièrement prendre le ferry, quand il revient chez lui pour les vacances ou des week-ends, pour aller dans la pâtisserie Frédélian au Cap Ferret. Il adore également, même si il ne l’avouera jamais, lire des romans à l’eau de rose (le genre ou toucher du bout du doigt, c’est tromper et qui fait verser des litres de larmes pour peu qu’on soit amateur du genre, pas celui où ils passent tous leur temps à forniquer) et regarder des Bollywood (et pleurer des larmes sincères devant aussi). Officiellement, il est aussi fan de tennis. Officieusement, il a toujours détesté aller à ses cours, connait à peine les règles et est incapable de citer le nom d’un joueur.

Philippe-Louis Demaison est né et a passé la majeure partie de son enfance à Arcachon, prés de l’océan Atlantique, en France, dans une gigantesque villa située dans la ville d’hiver de la commune. Issu d’une famille bourgeoise, il y avait chez lui, étant enfant, de nombreux employés en tous genres autour de lui. En plus de ses parents, il a également un frère, Etienne-Auguste, de quatre ans son aîné.

Petit, il essayait perpétuellement de s’introduire dans la cuisine malgré l’interdiction de ses parents et espionnait le cuisinier aux fourneaux avec fascination. Un jour, celui-ci finit par le remarquer et, remarquant son intérêt, lui fit découvrir la pâtisserie en secret. Ce fut le début d’une passion pour Philippe-Louis, émerveillé à chaque fois par ce qu’il arrivait à faire de ses mains, d’autant plus qu’il était assez doué.

A neuf ans, après une chute de cheval, le petit français était inconsolable et refusait catégoriquement d’approcher une bête de nouveau. Ses parents, ne sachant plus quoi faire pour le consoler, lui offrirent un petit chaton noir de race Bombay pour sécher ses larmes et le réconcilier avec les animaux. Cela marche même mieux que prévu et ils deviennent vite inséparables. Au grand dam des parents, Philippe-Louis décide de l’appeler Bidonville, un mot découvert récemment à l’école. Bidonville et la pâtisserie, les deux grands amours de la vie Philippe-Louis.

A onze ans, pour endurcir et faire mûrir leur fils, les Demaison décident d’envoyer leur fils dans un internat en Angleterre. Par une dérogation spéciale (et quelques pots de vin), il est autorisé à amener Bidonville avec lui, duquel il refuse catégoriquement de se séparer. Perdu dans ses repères, Philippe-Louis se raccroche à son camarade de chambre, un italien du nom de Mario. Au début, ce dernier était plutôt timide, perdu sans sa famille, d’un naturel naïf et enfantin, puis au contact du français, il acquiert une certaine maturité, et réciproquement. Leur amitié permit à l’un et à l’autre d’obtenir une certaine indépendance et un réconfort loin de chez eux et de leur famille.

Puis, le jeune garçon va se rapprocher de deux de ses camarades de classe, qui sont également ses voisins de chambre : Lysandro Carriedo-Mavridis et Ahren Freymann, respectivement de nationalité espagnole et allemande. Même si il reste très proche de Mario, le trio devient rapidement une représentation parfaite de meilleurs amis du monde. Puis le cousin de Mario, Luigi, arrive aussi à l’internat quelques années plus tard et Philippe-Louis est déplacé dans la chambre de Lysandro et Ahren et les trois amis ne se séparent plus à partir de là.

La vie à l’internat s’écoule paisiblement, avec de temps en temps une petite visite du trio chez le proviseur, mais rien de bien méchant. En grandissant, le jeune français se découvre un physique avantageux et un certain succès auprès des filles qu’il considère comme tout à fait normal au vu de sa personne. Jusqu'à ce fameux dernier jour du lycée…

*’Tain, je suis où là ? Y s’est passé quoi ? C’est quoi ce bruit ? Un peu comme des vagues… Agréable… *

Il se redresse brusquement en ouvrant les yeux et découvre qu’il est sur une plage, Bidonville qui tombe de son ventre, où il était depuis le début.
*Heeeeeeiiiiiiiiin ?!?!?! Comment j’ai atterri là ? C’est pas vrai ?! Mais… On dirait des gens là-bas… Qui se rapprochent… Mais… Mais… Ahren et Lysandro ?!?! C’est une hallu, c’est pas possible… Pourtant…*
Lysandro lui saute au cou et il réalise qu’ils sont bien tous les trois. Paumés on ne sait où mais tous les trois ensembles, alors ce n’est pas si grave.

Âge :17 ans

Comment avez vous découvert ce forum ? Par Lysandro & un futur membre qui s'appelle Ahren :)

Première impression ? ça m'a tout l'air bien sympathique comme forum :3

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Autre chose ? Naega chae jal naga!! (c'est rien, j'avais juste envie de dire ça un jour...^^") & [Validé par Becky]