— Esplumoir ;
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● HARRIET J. STANKOVIĆ

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Anonymous
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● HARRIET J. STANKOVIĆ  Vide
MessageSujet: ● HARRIET J. STANKOVIĆ ● HARRIET J. STANKOVIĆ  Icon_minitimeLun 13 Juin - 16:11

IDENTITE




Nom : Stanković

Prénom : Harriet, dite "Harry", Jelena (à prononcer "Yelena"), Ljubica (à prononcer "Lyoubitsa")

Nom de code : Sleeping Drug

Âge : 18ans, et demi même.

Nationalité : Serbe, mais elle a toujours vécu en Angleterre

Orientation sexuelle : Totalement indifférente, bien que plus attirée par les hommes

Métier : Disquaire, enfin si c'est possible. Comme il y a une librairie, je me suis dit que ça devrait être possible. Sinon, bah on cherchera o/

Plume souhaitée : Passe-muraille

Plume attribuée : Voyage à travers les miroirs.

Quartier : Feathers Road
● HARRIET J. STANKOVIĆ  250391Harrychou



CARACTERISTIQUES PHYSIQUES




« La forme de ma tête m'inquiète parfois. Quand j'en aperçois le reflet sur la vitre d'un train dans le noir, avec le paysage qui défile à travers son image. Rien d'inhabituel ou... d'inquiétant... dans la forme de ma tête, mais quand même... ça m'inquiète. »

Si vous croisiez Harriet dans la rue, vous seriez incapable de vous souvenir de son visage. Elle est commune, trop peut-être. Les rares fois qu’elle se regarde et s’observe, elle trouve son visage trop émacié, trop pâle et fatigué. Il a une forme banale, légèrement allongée. Un front ni grand, ni large, ni petit. Son nez est plutôt fin, mais ni droit, ni aquilin. Ses joues, bien qu’elle soit maigre, ne sont pas creuses. Les pommettes qui les surmontent sont légèrement roses, ce qui enlève un peu le côté « déterrée » du visage de Harriet. Sa bouche n’est pas très large, ni trop épaisse ni vraiment mince et ses lèvres, charnues, sont rose pâle.
La seule partie de son visage qu’elle aime, ce sont ses yeux. Bien que totalement inexpressifs, elle les trouve magnifiques. Ils sont d’un gris nuancé, qui tire vers le vert, sans être kaki. Un gris-vert. Et Harry adore cette nuance.

Un jour, Harry est passée devant le miroir en pied qu’elle a dans sa chambre, et elle s’est trouvée horriblement maigre. Elle a les membres trop longs. Ses bras, trop fins et trop blancs, lui tombent le long du corps et à leur extrémité ses mains, aux longs doigts, dont elle n’a jamais pris soin, les ongles rongés jusqu'au sang. Ses jambes, pareilles à deux tiges ridiculement fines, semblent pouvoir se briser à tout instant. Et pourtant, son corps doit supporter bon nombre de chutes. Il est constellé (pour ne pas dire « entièrement recouvert ») d’hématomes et de blessures diverses. Et c’est exactement cela que Harry n’aime pas chez elle, ces bleus qui recouvrent sa peau trop laiteuse.

Harry déteste montrer son corps l’été. Harry déteste quand il fait si chaud qu’elle doit mettre des shorts. Harry déteste ces journées où elle a l’impression de coller littéralement. Elle déteste avoir à plisser les yeux quand il fait trop clair et avoir mal à la tête parce que dehors c’est trop lumineux. Tout simplement, Harry déteste le soleil. Et ça se voit, elle est si rarement exposée que même en mars elle peut attraper des coups de soleil. Elle a une peau de blonde qui ne sort de chez elle qu’en cas d’extrême urgence ou pour aller travailler.

Une autre chose que Harry aime chez elle ce sont ses cheveux. Car ils ne lui demandent pas trop d’entretien, elle peut passer quatre jours sans les laver sans qu’ils soient gras. Et elle n’est pas obligée de s’embêter avec un sèche cheveux à faire des brushings car ils sont raides. Enfin, de toutes façons, Harriet ne sait pas se servir d’un sèche-cheveux. De plus, même s’ils sont relativement longs, elle n’a pas à passer des heures à les démêler. Et c’est bien pour cela qu’elle les garde à cette longueur, parce qu’ils ne la gênent pas.

De manière générale, Harry déteste avoir à s’occuper d’elle. Elle n’a pas un style particulier, parce qu’elle n’a ni le temps ni l’envie de passer des après midi dans les magasins à chercher quelque chose qui pourrait correspondre à ce qu’elle porte d’habitude. Elle prend ce qui lui tombe sous la main : des pulls trop grands et des jeans délavés. Et cela lui convient parfaitement car elle n’aime pas se faire remarquer.






CARACTERISTIQUES PSYCHOLOGIQUES




« Elle est actuellement pour ainsi dire en dépression, elle aurait voulu naître noire, de sexe masculin et plus sexy. Ou seulement plus sexy. Ou seulement pas la même. Quelqu’un d’autre quoi merde. Elle met un terme à cette comédie grotesque de toujours tenir bon jusqu’à la semaine prochaine pour tenter d’esquiver le fait qu’elle ne sait absolument pas comment elle va tenir les quarante prochaines années. Elle parle d’elle à la troisième personne parce que l’idée d’être celle qu’elle est, de s’admettre telle quelle, c’est plus que son orgueil ne peut en supporter. Elle en a marre d’elle putain mais à gerber, et elle espère elle espère elle espère qu’il va se passer quelque chose et que la vie va enfin commencer. »

Parler d’elle sans parler de sa maladie serait difficile. Harry est une fille comme on en voit beaucoup mais elle ne contrôle pas son sommeil, il est aléatoire, élastique. Elle est narcoleptique. Et elle le vit mal, très mal. Elle sait qu’où qu’elle soit, quoi qu’elle fasse, elle peut tomber, s’endormir. Pour elle c’est la chose la plus ridicule du monde, et elle a honte. Honte de cette maladie, de ce disfonctionnement qui l’empêche d’être celle qu’elle voudrait être. Elle se sent vulnérable endormie. Alors elle fait tout pour combattre la narcolepsie.

Dire que Harriet est une jeune fille dépressive serait peut-être un peu exagéré. Harry est névrosée et pessimiste, certes. Harry a tendance à essayer de s’ouvrir les veines, certes. Mais cela ne fait pas d’elle une dépressive. Enfin, peut-être que si, elle n’arrive pas vraiment à se définir. Mais elle ne veut pas mourir, c’est sur. Même si sa vie ne ressemble à rien, elle s’y plait.

On pourrait penser qu’elle est antisociale, mais ce n’est pas qu’elle n’aime pas les gens, c’est qu’ils l’indiffèrent. Elle déteste avoir à leur parler, elle ne supporte quand on s’apitoie sur son sort et quand quelqu’un essaye de la consoler, ou de lui remonter le moral. Harriet aime la solitude. A la limite, ça ne la dérange pas d’écouter quelqu’un parler, se plaindre. Mais elle veut seulement ne pas avoir à parler d’elle.
De toutes façons, Harry se fiche pas mal des autres habitants de l’île, même si à force elle les connaît tous plus ou moins. Mais elle ne se sent absolument pas concernée par tout ce qui se passe sur Esplumoir, de toutes façons dans moins de deux ans, elle s’en ira. Et c’est une chose qui lui fait réellement peur. Après avoir passé la moitié de sa vie sur cette île, où ira-t-elle ?

Pour le moment Harry se raccroche à sa vie paisible et sans soucis. Elle aime son métier, et c’est le plus important pour elle. Car Harriet n’a qu’une seule passion, un seul hobby depuis toute petite, c’est la musique. A son arrivée, quand il a fallut qu’elle trouve un métier, c’est tout naturellement qu’elle a eu l’idée d’être disquaire. Mais le gros problème, c’est qu’elle a trop tendance à s’endormir au travail, généralement quand les clients rentrent, ils la trouvent allongée par terre. La plupart des enfants prennent peur, et décident de ne plus y retourner. Même si cela importe peu Harriet de ne pas avoir beaucoup de clients, ce n’est pas avec trois clients dans le mois qu’elle arrive à vivre. Alors elle essaye de faire des efforts pour parler un peu avec ses clients, pour tenter de paraître sympathique.

Car le problème, c’est qu’elle a besoin d’argent. Pas spécialement pour manger, ou pour s’acheter des vêtements. Mais pour ses clopes. Harry fume, trop certainement. Et les cigarettes ont un coût. Et si elle arrive à ne pas dépasser le paquet par jour, c’est qu’elle est les trois-quarts du temps endormie. Et quand elle ne dort pas, elle fume. C’est machinal, elle a besoin d’avoir une cigarette entre les doigts.

Sans compter ce qu’il lui coûte de faire réparer ses appareils électroménagers tous les mois. Car Harriet a un réel don avec les appareils électroniques. Que ce soient les sèche-cheveux ou les fours elle est totalement incapable de s’en servir. Elle a la manie de toujours appuyer sur le bouton qu’il ne fallait pas, de faire ce qu’il ne faut absolument jamais faire. En d’autres termes, elle a manqué de s’électrocuter plus d’une fois.
Sans généraliser, Harry a deux mains gauches. Heureusement qu’elle n’est pas confrontée aux nouvelles technologies car elle pourrait en deux minutes bloquer complètement un ordinateur ou faire exploser un téléphone portable. Et pourtant, elle fait des efforts, essaye de se concentrer sur ce qu’elle fait mais c’est plus fort qu’elle, elle arrive toujours à oublier ce qu’il faut faire.








HISTOIRE



Ma vie en noir et blanc qui défile à l’envers.

Pour moi tu es morte.

Harry n’a presque jamais connu sa mère. D’après son père, c’était une femme drôle, lunatique, en quête d’aventures et d’amours improbables. Elle n’est pas restée longtemps avec lui, étant tombée folle amoureuse de son médecin. Car elle était malade. Narcolepsie. Elle disait que ce n’était pas une maladie car on ne pouvait pas la guérir. Même en prenant des tas de médicaments. Même avec toute la volonté du monde. Même avec un très bon médecin. Et ce médecin avait l’avait emmenée faire un tour du monde. Et elle était partie. Même si sa fille n’avait qu’à peine deux ans. Même si son mari l’aimait plus que tout.
Harry n’a presque jamais connu sa mère, mais Harry n’en a rien à faire. Pour elle sa mère était une femme stupide et irresponsable.

Cette ville putain, je l’aime, j’vivrais nulle part ailleurs, j’pourrais pas.

Harriet adore sa ville natale, Londres. Son père et elle avaient un petit appartement, sur Baker Street. La rue de Sherlock Holmes, le héros de son enfance. Contrairement aux autres enfants, Harriet ne regardait pas les dessins animés, elle préférait quand son père lui racontait les histoires du célèbre détective. Harry aimait son père plus que tout, il était quelqu’un de formidable, gentil, fidèle et intelligent. Elle ne lui trouvait aucun défaut, vraiment aucun. C’était, pour elle, le père idéal. Il tenait une petite librairie où Harry aidait de temps en temps, heureuse de pouvoir faire quelque chose pour celui qui en avait tant fait pour elle.
Car, même si Harry n’était, à l’époque, qu’une petite fille, elle savait combien il avait été difficile à son père de l’élever seul. Elle savait aussi qu’il avait beaucoup souffert de son divorce, et avait failli faire une dépression. Mais il lui disait que c’était elle qui l’avait sauvé, que grâce à elle, il était toujours là. Pour rien au monde Harry n'aurait voulu l’abandonner, et le laisser seul dans ce petit appartement sur Baker Street.

On est jamais si puissant que quand on se reconnaît impuissant.

Esplumoir. Harry avait à peine dix ans quand elle arriva sur l’île. Elle ne se souvenait plus de rien. Et elle ne comprenait pas pourquoi elle était allongée sur une plage. Harriet n’avait à l’époque jamais vu la mer. Elle ne comprit pas tout de suite qu’elle n’était pas dans un rêve, et qu’elle ne pourrait plus retourner chez elle.
Cela lui fit un choc. Quand on lui expliqua où elle était et ce qu’il s’était passé, elle refusa de le croire. Elle voulait à tout prix rentrer chez elle et revoir son père. « Impossible » lui avait-on répondu. La petite avait fondu en larmes, tétanisée par l’idée qu’elle ne reverrait plus son père avant de nombreuses années.

Une voix dans le désert.

Harry était fatiguée, mais fatiguée de la vie qu’elle menait sur Esplumoir. Elle avait quatorze ans, elle vivait seule et avait quelques amis mais elle n’en pouvait plus. Et même si ses rares occupations étaient de travailler un peu et de ne rien faire, elle était lessivée. Elle en arrivait même à s’endormir, comme ça, sans raisons, durant la journée. Harry tombait de fatigue. Littéralement. Elle tombait, ses jambes ne la retenaient plus, et elle s’endormait, par terre.
Après quelques temps, Harriet avait décidé d’aller voir quelqu’un, un médecin ou un infirmier, quelqu’un susceptible de lui dire ce qu’elle avait, et de l’aider.
Le médecin de l’île avait vite compris de quoi il s’agissait. La narcolepsie. Il lui avait demandé si quelqu’un dans sa famille avait présenté les mêmes symptômes : somnolence excessive, accès de sommeil irrépressibles, attaques de cataplexie survenant en plein éveil, ...

Personne pour m’aider même pas ma putain de mère.

Harriet haïssait sa mère. De tout son cœur. Cette femme qui n’avait même pas été capable d’élever un enfant et d’être fidèle à son mari, cette femme qui était censée être sa mère et qu’elle n’avait jamais connu, lui avait transmis sa maladie. Et elle ne pouvait rien faire, rien. Car il n’y avait pas de traitement, car on ne pouvait rien faire.

Harriet Stankovic haïssait sa mère.







DERRIERE L'ECRAN



Âge : 15ans

Comment avez vous découvert ce forum ? Bonne question, enfin sûrement par mon ami Google.

Première impression ? Le forum est magnifique *o* (en plus la référence aux Pistols sur le header, je n'peux qu'adhérer!)

Vous pensez être très présent/assez présent/pas trop présent ? : Assez présente, surtout avec les vacances qui approchent. Malgré que longue à répondre (mais je fais des efforts, sisi.)

Autre chose ? [Validé par Becky]



Dernière édition par Harriet J. Stanković le Mar 5 Juil - 22:20, édité 2 fois
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Noélia E. De Los Rios
Noélia E. De Los Rios

Guardian of Hope
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Messages : 323
Age : 28
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● HARRIET J. STANKOVIĆ  Vide
MessageSujet: Re: ● HARRIET J. STANKOVIĆ ● HARRIET J. STANKOVIĆ  Icon_minitimeMer 22 Juin - 22:03

[Flood] Haaan Harry, enfin 8D
Contente de te revoir parmis non, joli début de fiche :) ♥
Bonne chance pour le reste =)[/flood plus]
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Anonymous
Invité

Invité


● HARRIET J. STANKOVIĆ  Vide
MessageSujet: Re: ● HARRIET J. STANKOVIĆ ● HARRIET J. STANKOVIĆ  Icon_minitimeMar 5 Juil - 22:22

Hum, juste pour dire que ma fiche est enfin terminée. ~
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Becky Bloom
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● HARRIET J. STANKOVIĆ  Vide
MessageSujet: Re: ● HARRIET J. STANKOVIĆ ● HARRIET J. STANKOVIĆ  Icon_minitimeSam 9 Juil - 21:56

BONJOUR ET BIENVENUE ! /TRAMWAY/

J'espère que tu t'amuseras beaucoup avec nous !
Et qu'Esplumoir sera être ton nouveau chez toi. ♥


Passons à ta fiche 8D

Niveau identité, ou bienvenue chez les ptits êtres bleus ~

  • En quoi consiste le pouvoir de Passe-muraille ?


*mange du pain au poulpe* 8D

Ensuite, Niveau physique, ou comment devenir top model.

  • J'ai littéralement adoré. C'était très créatif. Tu as un bon rythme dans tout ce que tu écris. Rien que dans ta façon d'aborder point par point les différentes caractéristiques de son physique.
    En plus, on a pas affaire à un genre de miss parfaite. Elle a ses défauts et ses qualités. Et donc, j'ai aimé.


Après, Niveau caractère, ou on est complétement pété ~ Douda douda ~ ♪

  • Très amusant. Bon, très sombre aussi. Elle souffre d'une maladie spéciale dans son genre. Mais j'imagine que ça colle avec son caractère. Ou l'inverse. Son caractère colle avec sa maladie. J'vais arrêter de faire de l'amphibologie. XD


*avale encore du pain* J'vais finir par devenir artophage. Ô_ô

Enfin, Niveau histoire, ou on a tous connu le "il était une fois..."


  • Une petite histoire tristounette. Mais très jolie.
    J'ai beaucoup aimé.


Et pour finir, il ne te manque plus qu'à remplir ton profil et tu seras validée. ♥

Code validé ~
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Anonymous
Invité

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● HARRIET J. STANKOVIĆ  Vide
MessageSujet: Re: ● HARRIET J. STANKOVIĆ ● HARRIET J. STANKOVIĆ  Icon_minitimeSam 9 Juil - 22:54

Haha, je ne suis pas si nouvelle sur Esplumoir, mébon 8D

En tous cas, merci pour les compliments, ça m'a fait très beaucoup plaisir.
Sinon, hum, passe-muraille, genre passer à travers les murs, et les portes aussi 8)

Le profil est rempli (j'avais totalement zappé) /o/
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Becky Bloom
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Feathers Road
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● HARRIET J. STANKOVIĆ  Vide
MessageSujet: Re: ● HARRIET J. STANKOVIĆ ● HARRIET J. STANKOVIĆ  Icon_minitimeDim 10 Juil - 17:05

Hé bien REBIENVENUE. 8D

Ta plume souhaitée est correcte.

Tu es validée.

Tu connais la routine habituelle :
Avatar à réserver si tu veux.
Fiche de liens à faire.

Et surtout amuse-toi bien parmi nous. ♥
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● HARRIET J. STANKOVIĆ  Vide
MessageSujet: Re: ● HARRIET J. STANKOVIĆ ● HARRIET J. STANKOVIĆ  Icon_minitime

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● HARRIET J. STANKOVIĆ

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