— Esplumoir ;
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Nyrel Brünwalsn[Finie]

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Anonymous
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Nyrel Brünwalsn[Finie] Vide
MessageSujet: Nyrel Brünwalsn[Finie] Nyrel Brünwalsn[Finie] Icon_minitimeMer 20 Juil - 12:57

 
IDENTITE




Nom : Brünwalsn

Prénom : Nyrel

Nom de code : Kuukyynel (Larme de Lune)

Âge : 19ans

Nationalité : Finlandaise

Orientation sexuelle : Bisexuel

Métier : Vétérinaire

Plume souhaitée : Anonymat
Cela nous arrive tous les jours de croiser quelqu'un dans la rue, de le voir, mais pourtant, on ne le remarque pas. Un visage dans la foule, anonyme. Le principe de cette plume est identique, une fois activée, Nyrel peut passer à coté des gens sans entrainer de réaction, il n'est qu'un visage anonyme et ce même s'ils ne sont que deux dans la rue. Cependant, son pouvoir ne marche pas en continu, il est épuisant mentalement pour l'utilisateur, et ne s'active que pour une heure, une heure et demi, en continu. Une activation plus longue le plonge dans l'inconscience. Si la ou les cibles l'ont vu avant l’activation il est toujours perçu, pas de disparition donc et Nyrel ne peut pas être sous l'effet de la plume si il interagit avec la cible de quelques manières que ce soit, celle ci est désactivée ou ne s'active pas.


Plume attribuée : Contrôle du poids
Nyrel peut avec cette plume modifier son propre poids à volonté ou presque. Il ne peut pas augmenter le poids d'une seule petite partie de son corps, son poing, par exemple, au risque de se déboîter les articulations du bras. Il en a déjà fait l'amère expérience à ses débuts.
L'amplitude va de quelques grammes à une tonne et demi, au-delà son squelette ne le supporterait pas. Il peut également agir sur les végétaux et les objets si leur volume n’excède pas celui d'un mètre cube. Il peut maintenir son pouvoir en continu une quinzaine de minute, au delà son corps se fatigue en moins d'une minute, entrainant une perte de conscience.


Quartier : Bloody Lane
Nyrel Brünwalsn[Finie] Nyrel10



CARACTERISTIQUES PHYSIQUES




Disons le clairement, Nyrel est un colosse. Du haut de son mètre quatre-vingt-dix-huit, il dépasse bon nombre de gens d'une bonne tête. On peut rajouter à ceci quatre-vingt-quinze kilos bien tassés et vous pouvez ranger la brindille au placard. Le jeune homme pratiquz l'hapkido depuis les débuts de son adolescence. Cet art martial coréen lui a donné une musculature fine et noueuse, d'une souplesse que dément sa carrure de prime abord. Il a fini par accepter son physique au bout de longues années de déni. Nyrel tente toujours, malgré tout, de paraître moins imposant, bien que cela ait souvent l'effet inverse. Son visage a le teint pâle, presque laiteux, et pourtant respire la santé. Une mâchoire carré ferme son visage, de temps en temps accompagnée d'un fin bouc. Ses yeux bleus presque gris consolident cette impression de fermeté.
Certaines croyances prétendent que les yeux sont la fenêtre de l'âme. Si c'est vrai, l'âme du jeune homme est une forteresse de montagne tant son regard est froid et distant. Imprenable. Il possède une longue chevelure corbeau qui lui tombe dans le creux des reins. Impossible à coiffer, ceux-ci semblent animés d'une vie propre et tombent invariablement telle une cascade d'ébène le long du dos de Nyrel du fait de leurs raideur. Le jeune homme les coiffe parfois en queue de cheval, avec un lien de cuir, quand l'envie le prend. Il s'est fait tatouer, le jour de ses dix-huit ans, un Taiji entouré des vingt-quatre runes scandinaves. Il en a ainsi fait quelques autres. Une Ankh entourée d'un Ouroboros sur l'épaule gauche, et un Hunab Ku souligné d'un Owo Foro Adobe. Nyrel porte invariablement les mêmes vêtements, qu'il a en plusieurs exemplaires. Une longue veste en cuir noir à multiples boutons et attaches par dessus un T-shirt noir ou blanc, et dans de rares cas, rouges. Un jean noir et des rangers complètent sa tenue. Il possède également une boucle d'oreille en forme d'oméga ailé, une bague au pouce et au majeur gauche ainsi qu'un bracelet d'argent, seuls vestiges de son ancienne vie.






CARACTERISTIQUES PSYCHOLOGIQUES




Le regard de Nyrel reflète parfaitement son état d'esprit lorsqu'il se trouve confronté aux autres. Depuis son plus jeune âge, il a perdu confiance en l'homme en général et en lui même en particulier. Ce cocktail étrange lui a valu un isolement contraint, puis volontaire, et une timidité maladive. Lors d'échanges avec autrui, il s'en tient donc au strict minimum, formulant des réponses laconiques, presque monosyllabiques, quand il ne se retourne pas sans un mot pour littéralement prendre la fuite. Ses yeux cherchent toujours la ruelle, la porte qu'il pourrait emprunter pour éviter un contact, ou abréger celui qui se déroule actuellement, avec autant de tact qu'une armoire à glace peut démontrer. Il a élevé la froideur au rang d'art, ne montrant que sa mélancolie, parfois.
Nyrel a également un côté chaleureux et plus humain, qu'il a appris à dissimuler aux regards des autres en appliquant à l'extrême le self-control que lui ont fourni ses années d'hapkido. Ce qui ne tue pas rend plus fort, mais ce qui est ignoré ne peut pas vous atteindre. Ainsi le jeune homme dissimule autant que possible ses émotions, mais il arrive parfois qu'un demi-sourire triste s'épanouisse avant de disparaître aussi rapidement qu'il était apparu. Il y reste parfois plus longtemps en compagnie de ses petits patients, plus particulièrement les Pickys, bien qu'il fasse tout pour le réprimer en compagnie humaine.
Restent au finlandais d'autres moyens de s'évader, dont son art martial, bien sûr. Pratiqué assidûment depuis plus de sept ans, il lui permet d'expulser ses tensions et sa frustration. Il s’évade quotidiennement dans les rayonnages de la Bibliothèque, de par l'ambiance qui colle si souvent à son caractère et il trouve de quoi lire en grande quantité pour étancher sa soif de connaissance en tout genre. Il s'agit pour lui d'un ersatz de sociabilité, il lui arrive plus d'une fois de parler à la couverture pour commenter l'œuvre qu'il vient de lire.
Dans le cas où le spleen lui devient insupportable, il traîne sa carcasse dans la brasserie de Bloody Lane et profite de l'ambiance et des discussions dans le coin le plus sombre sans jamais y participer. Un verre à la main, il lui prend parfois de rêver que l'on vienne lui parler et qu'il fasse l'effort de s'intégrer. Mais il ne rêve pas longtemps, il est à Bloody Lane, là où le pouvoir fait loi, la faiblesse n'y a pas cours... et il prend de plus en plus les amis pour une faiblesse. Quelqu'un lui prouvera-il le contraire ? Parviendra-t-il à faire tomber la forteresse qu'il a construit ? Rien n'est moins sûr, mais espérons le, pour lui comme pour les autres. A force de solitude, Nyrel navigue à la frontière de la folie...





HISTOIRE



« Je me décide pour la première fois de coucher des mots sur le papier. Pourtant je ne sais que dire, qu'écrire. Je devrais avoir la tête pleine d'idées mais pourtant je n'en ai qu'une qui me vient. L'histoire de ma vie. Une chose bien étrange, atypique peut-être. Certainement.

Commençons par le commencement, d'après Isoäiti (Grand-mère pour les non finnophone si quelqu'un me lis un jour) je serais né un 13 juillet dans la banlieue. Elle m'a un jour montré mon extrait de naissance. Mon père, son fils, s'était épris d'une anglaise lors de ses études dans la lointaine Albion. J'ajouterais bien perfide mais la question n'est pas là. Mon père et son anglaise, ma mère, ne sont revenus en Finlande que pour me confier à la garde, j’emploierais plutôt à la charge, de mes grands parents. Ils m'ont abandonnés et sont repartis vivre leur amour autour du monde. Je ne les ai jamais revu depuis, autant dire qu'il sont de parfaits inconnus. Je suis donc devenu une honte au yeux de mes aïeux, cependant ils m'ont élevé. Je leurs dois bien cela. J'ai grandi dans la banlieue de Turku, troisième ville du pays et ancienne capitale. L'école n'étant obligatoire qu'à six ans, Isoisä (Grand-père) pris en charge mon éducation, il m'appris à lire, écrire, compter à mon rythme dès que j'ai su parler, dans son esprit j’étais un fils de substitution. Isoäiti le forçait à me laisser grandir comme l'enfant que j'étais, ce qui déclenchait des tensions bien souvent. Mais je devais réussir ma vie, ne pas suivre les traces de mon père. Un échec selon eux. Maintenant je ne sais que penser, il a choisi sa vie loin de ces tyrans, pardon, parents. Oui, je les appelle tyrans, il n'y avait pas ou peu d'amour entre eux et moi, juste l'envie furieuse de se racheter de l'échec qu'était devenu celui que je devrais appeler père.
J'ai bien essayé de me faire des amis dans le quartier mais les enfants n'étaient pas nombreux et je crois bien que je leur faisait un peu peur. J'avais bien le même âge qu'eux, mais à trois ans j'avais la taille d'un enfant de cinq ans. Eija qu'elle s’appelait, je crois, une petite démone rousse, prête à toutes les bêtises, fut la seule avec qui je me liait un tant soit peu. En vérité se fut l'une des rares véritables amis que je réussi a me faire, enfin à cette époque... J'étais de toutes ses bêtises, puis vint l'école, et la cruauté infantile. Je fus exclu à cause de ma corpulence bien sûr, mais également à cause de l'enseignement de mon grand père, j'avais ainsi toujours de l'avance sur mes camarades. Si je peux les nommer ainsi. Eija de peur de rester seule, m’abandonna donc je devins un paria à six ans.
D'après ce que j'ai lu, ma réaction loin d'être inconnue reste inhabituelle. Au lieu de tempêter et et chercher à rentrer dans leur bonne grâce, je me suis entêté, ils ne voulaient pas de moi, soit, je n'ai pas besoin d'eux. Cela est toujours vrai maintenant. Je me suis donc appliqué un peu plus à l'école, je passais les récréations assis dans mon coin. Observant de loin celle qui fut mon amie. Il m'arrivait parfois de vouloir les rejoindre et d'être normal. Malheureusement, on me faisait vite comprendre que je n'avais pas de place avec eux. J'en vins vite à leur en vouloir. Cette rancœur se mua en frustration puis au fur et à mesure que les années passèrent en violence, verbale surtout. Ayant beaucoup de temps pour lire, j'avais acquis un grand nombre de connaissance pour un enfant de onze ans. Je m'en servait pour rembarrer ceux qui aurait pu être des amis. Il n'était pas rare que certains repartent en larmes. Malgré l'intervention de mes professeurs la situation s'envenima rapidement. Mes grands parent fermaient les yeux du moment que mes résultats scolaires restait bon. Je passait donc mon temps libre à étudier, lire, et m’occuper de ma tribu de poissons que j'avais finalement obtenu après de nombreux mois de demande. A cette époque, j'aurais voulus être un poisson.
Peu après mes douze ans, j'avais déjà la carrure d'un adolescent d'environ quatorze ans, j'ai pété les plombs. Je ne me rappelle même plus la raison, mais j'ai frappé Åke en pause. Bien entendu, cela dégénéra, toute la classe se ligua contre moi physiquement. J'ai eu mal, mais je dois reconnaître que eux aussi. Lors de l'intervention des profs, je les voyant exulter. Ils avaient trouvé un moyen de me blesser. Cette situation se répéta de nombreuses fois, mes notes baissèrent, bien entendu ma « famille » ne pouvais laisser passer cela. Ils en vinrent à la conclusion que je manquait d'occasion de me défouler, ma solitude ne leurs était pas venu a l'idée..
Isoäiti en parla à l'un de ses amis. Tae-Hyen. La soixantaine, celui ci était d'origine coréenne, plus petit que moi, il allait devenir mon professeur d'hapkido. Je me rappelle très bien de notre première rencontre. Une fois entré, il m’avait appelé dans une pièce aménagée depuis peu, en témoignait un certain nombre d’emballage dans un coin. Tae-Hyen se trouvait au centre de plusieurs tapis de mousse peu épais comme on en trouve dans tous les dojos du monde ou presque. Il m'invita d'un geste à prendre place. En enlevant mes chaussures, je l'observais en coin. Petit, sec, peu voir pas de graisse en trop, il respirait la maîtrise de soi. Une fois en face de lui, il me donna sa première instruction.

« Attaque moi. 

-Pardon? !

-Attaque moi ! »

Pas convaincu, j'envoyais mon bras droit vers son visage. L'instant d’après, il se trouvait derrière moi, et mon épaule douloureuse prenait un angle inhabituel. Il me lâcha le bras et m'expliqua les règle de base et me demanda de recommencer. Ce que je fis sans grand succès. Main, pied, tête, rien n'y fit. Au bout d'un quart d'heure, il me fit arrêter et m'échauffa sérieusement avant de commencer le cours à proprement dis. Durant l'heure qui suivit, il m'appris les rudiments de clés, essentiellement de bras, quelques exercices de respiration et surtout, il m'appris à me canaliser, ma colère, surtout, mes émotions en général. Je venais voir ce petit homme deux fois par semaine, les cours suivait le même schéma. Au grand bonheur de ma famille, mes notes remontèrent. Avec un calme retrouvé, mes échanges sociaux se réduisirent à mes grands-parents et Tae-Hyen, parfois Eija en rentrant des cours.
Trois ans passèrent sur ce schéma, je passait mes vacances entre la bibliothèque de la ville et celui qui tenait lieu de figure paternelle. En étant honnête, je vivais de plus en plus chez lui avec la bénédiction de mes tuteurs. Mes notes restaient bonnes, et mes capacités en Hapkido, d'après les dires de mon professeur, étaient excellentes.
Comme tous les adolescents de quinze ans, j'étais amoureux, bien que toujours peu sociable. Je ne me rappelle plus exactement comment, et à vrai dire je rechigne à le coucher sur le papier, même quatre ans après. En raccourcissant, j'aimais et je pensais être aimé en retour par Eija. La diablesse de mon enfance avait laissé place à une beauté qui hantait mes rêves de l'époque. Ma vie semblait enfin prendre une tournure correcte, j'avais une petite amie, une figure paternelle stable, je voulais devenir vétérinaire. Bref pour la première fois de ma vie j'étais heureux et j'avais le sentiments d'être à ma place. Mais contrairement au cinéma, les bonnes choses ont une fin. Au bout d'un mois, mon monde s'est écroulé en une seule petite semaine. J'ai trouvé Eija dans les bras d'Åke, mettant fin a ce que je pensais être une vraie relation. Je n'ai d'ailleurs pas le fin mot de l'histoire, ou tout du moins je veux encore le croire.
Quelques jours plus tard, j'apprenais que Tae-Hyen avait un cancer et que celui-ci venait de faire une rechute, après de nombreuses années pendant lesquelles les médecins le croyait guéris. Il mourut le lendemain.
Je me suis senti abandonné de toute part. Je devins taciturne, misanthrope, en un mot solitaire, durant les mois qui suivirent. J’entrais en guerre ouverte avec ceux que je devais appeler ma famille car il ne m'avait pas autorisé à assister aux funérailles de mon mentor, et j'avais découvert que mes véritables parents m'avait envoyé une lettre tous les mois pour me tenir au courant et que j'aie une trace d'eux, que mes tuteurs m'avaient dissimulés depuis ma naissance.
Une rage sourde m'habitait après cela, et elle explosa sur la personne d'Åke, il vint un jour me voir pour une raison dont je ne me rappelle rien. Il cristallisait à ce moment précis, tous ce qui n'allait pas dans ma vie. J'ai perdu le contrôle, je lui avait cassé le bras d'une clé bien placée et battu comme plâtre. Seule ma colère m’importait. Une fois revenu à moi, honteux, j’appelais les secours de mon portable. Fuyant vers le cimetière dans un état second, je m’écroulai devant la tombe de mon professeur de vie. Prostré, je me mis a pleurer, pour la première fois depuis suffisamment longtemps pour que je ne me rappelle pas de la précédente.
J'ignore combien de temps je suis resté ainsi. Ma conscience de retour, je jurais devant la tombe de Tae-Hyen de ne plus jamais céder à mes sentiments. Je devais les enfermer au plus profond de moi, ce que je fais plutôt bien depuis lors. Je n'eus pas l'impression de contrôler ma vie les jours qui suivirent, ont m'emmena au commissariat pour agression. Mes grand-parents me firent sortir, et j’eus droit à la plus grande gueulante de ma courte vie. La seule chose que je retins, c'est que mes véritables parents venait me rencontrer. Après quinze ans d'absence, ils venaient me voir, moi. Une lueur d'espoir naquit. On me tendit deux lettres, l'une d'entre elle venait de mes parents, m'annonçant leurs arrivée pour la semaine qui suivait. L'autre fut une malédiction. Elle m'enjoignait d’appeler un numéro, ce que je fit.
La seule chose qui vient en mémoire après fut mon arrivé sur l'île d'Esplumoir. Étouffant la rage qui m’étreint le cœur, je découvrit ce lieu étrange peuplé d'enfant et d'adolescent. En quatre ans, je m'y fit une place. Devenant de plus en plus sombre et solitaire. Je refuse le contact social, ne l'acceptant que lorsque j'exerce mon métier de vétérinaire avec la faune de cette île maudite. »

Entendant des bruits de pas, Nyrel plia rapidement la feuille, la dissimula dans sa veste et quitta la bibliothèque. IL souhaitait ardemment que ce feuillet ne soit jamais découvert. Malheureusement, sur Esplumoir tout fini par se savoir un jour ou l'autre...





DERRIERE L'ECRAN



      Âge : 19 ans je me fait grâce des quelques jours qui manque.

      Comment avez vous découvert ce forum ? Une amie

      Première impression ? Cool !

      Vous pensez être très présent/assez présent/pas trop présent ? : Présent sans grand plus, je sais pas vraiment...

      Autre chose ? [ Code Ok, Monsieur qui ressemble à un elfe sur son vava ! èé ]


Dernière édition par Nyrel Brünwalsn le Ven 29 Juil - 20:30, édité 1 fois
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Alix D. De Vladinck
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Nyrel Brünwalsn[Finie] Vide
MessageSujet: Re: Nyrel Brünwalsn[Finie] Nyrel Brünwalsn[Finie] Icon_minitimeVen 29 Juil - 15:28

BIENVENUE PETIT ELFE !



Bien, bien. Regardons cette fiche. 8D
Je sais que t'es pas un elfe, hein. Mais ton vava a une tête d'elfe éè A part les oreilles mais ... Shh.

Identité :
- Huum. Le métier est ... étrange. Mais pourquoi pas. Il n'y a pas beaucoup d'animaux malades ou blessés sur l'île, mais ça peut toujours servir.
- Euuh ... Ta plume souhaitée est aussi ... bizarre. Mais si tu veux hein. Elle est bien expliquée, donc ça me va.
- Pour ta plume attribuée, j'aimerai que tu expliques un peu. Quels sont les effets de cette plume, son temps, l'énergie qu'elle prend ... Des détails du genre.
- Le reste est Ok.

Physique :
- Le premier truc qui « choque », c'est le récit au passé. On dirait que Nyrel est mort. Après, ce n'est pas vraiment dérangeant mais bon. Tu fais comme tu le sens.
- Quelques fautes d'accords de temps en temps, pas bien gênant non plus. Mais si tu relis, tu devrais pouvoir les trouver.
- Sinon, ben ... Il a un look aussi étrange que le reste, mais pourquoi pas. [[ Au passage, j'aime beaucoup le tatouage version « Ankh entouré d'un ouroboros ».
- Sinon c'est Ok.

Psycho :
- Pareil pour le temps. On a vraiment l'impression qu'il n'est plus de ce monde.
- Vachement taciturne, ton personnage. Pas facile à jouer, mais si tu le sens bien ... ♥ Tu écris bien, sinon.
- Et j'espère pour toi que quelqu'un va venir de le libérer de sa solitude ...
- Sinon c'est Ok.

Histoire :
- Très bien écrite. Assez triste mais bon ... J'aime bien ton style.

Profil :
- C'est rempli, c'est Ok.

Quand tu auras tout corrigé, fais moi signe ! 8D

Nyrel Brünwalsn[Finie] 738426Lunatic
[ Je tiens à préciser que l'image est de moi. ♥ ]


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Anonymous
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Nyrel Brünwalsn[Finie] Vide
MessageSujet: Re: Nyrel Brünwalsn[Finie] Nyrel Brünwalsn[Finie] Icon_minitimeVen 29 Juil - 20:36

Normalement tout est corrigé.

J'ai remis mon texte au présent. (L'habitude de rp au passé est tenace...)
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Alix D. De Vladinck
Alix D. De Vladinck

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Nyrel Brünwalsn[Finie] Vide
MessageSujet: Re: Nyrel Brünwalsn[Finie] Nyrel Brünwalsn[Finie] Icon_minitimeVen 29 Juil - 21:02

Tu es donc V.A.L.I.D.E !

Amuse toi bien en Rp, n'oublie pas ta fiche de liens et la réservation de ton avatar - si ce n'est pas déjà fait ! -
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Nyrel Brünwalsn[Finie] Vide
MessageSujet: Re: Nyrel Brünwalsn[Finie] Nyrel Brünwalsn[Finie] Icon_minitime

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