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 |  Sujet: Don't fuck with me, don't fuck with me.  Lun 13 Juin - 17:25 | |
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Nom : Durden.
Prénom : Judikael. KASS-D-10 à CADAVRE.
Nom de code : Infected Mushroom.
- Spoiler:
Âge : 17.
Nationalité : Américain.
Orientation sexuelle : Tout c'qui bouge, ou presque.
Métier : Masseur.
Plume souhaitée : A méditer.
Plume attribuée : Suspension de la douleur. J'ai pas eu à tirer, j'avais déjà cette plume avec mon ancien perso, accord d'une admin.Quartier : Chocolate Town. | 
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• CARACTERISTIQUES PHYSIQUES •
Imagine-toi aveugle. Tout devient noir, tu ne vois absolument plus rien. Fais travailler ton imagination, car tu ne pourras pas ouvrir les yeux tant que tu ne te seras pas imaginé comme il faut. Maintenant, lis attentivement.
L'ensemble. Convenable, ni plus ni moins. Tu es un homme comme n'importe quel autre, de sexe masculin, un pénis, pas de seins mais un torse, des muscles. Plus ou moins grand, tu dois mesurer dans les 1 mètre 75, par là. Ce n'est qu'approximatif. Un gabarit pas plus attrayant qu'un autre, une morphologie basique, pas plus développé qu'un autre. Ce n'est pas pour autant qu'on peut te qualifier de maigre, il fut un temps où, oui, tu l'étais. Cependant il faut avouer que tu n'as pas un corps de sportif non plus, des muscles, certes. Les muscles sans plus, que tous les hommes sont capables de former après un effort futile. De toute façon, tu es né avec une morphologie comme ça. Robuste de nature, sans pour autant être un amas de muscles inutiles, et pourtant un corps qui n'a rien a envier des autres. Ta corpulence ne gêne pas ta façon de t'habiller, c'est une bonne nouvelle. Tu peux te vêtir d'un tee-shirt moulant sans qu'un bourrelet ne dépasse de ton corps, tu peux mettre un short sans avoir honte et tu peux t'habiller de façon classe, costard cravate sans que ça ne choque personne. Une morphologie aussi banale, ça ne se remarque pas vraiment. On en arrive donc à t'évaluer plus en détails.
La première chose qu'on remarque chez toi, c'est sûrement t'es cheveux mi-longs, légèrement ondulés. Non, on dirait plus qu'ils rebiquent vers l'extérieur. Ça te donne une impression décontracté, avec la tête de celui qui vient de se réveiller. Tu as des cheveux plutôt épais et ça ne t'intéresse pas vraiment de les soigner plus qu'ils ne le sont, alors tu les laisses en liberté, qu'ils rebiquent, qu'ils s'emmêlent, ou autres conneries du genre. Il y a aussi quelque chose qui se remarque dès qu'on te voit. Tes tâches de rousseurs. Tu en as pas beaucoup, mais ils sont suffisamment visible. Normal, ils sont en plein milieu de ton visage. Étalés sur tes pommettes, tu n'as jamais vraiment penser à les exterminer. Oh, ça te va plutôt bien, ces tâches de rousseurs. Et puis dans l'ensemble du visage, typiquement occidental, rien de plus. D'ailleurs, il y a encore une autre qui te caractérise si on te regarde attentivement. Tes yeux. Ils n'ont pas une couleur particulière ou quoi, mais quand on ne voit que tes yeux, tu as l'air fatigué, même épuisé. Tu as des yeux qui tombent, tu n'as donc pas l'air méchant ni désagréable, plus blasé qu'autre chose. Et puis il n'y a pas d'autres spécificités. Tu as un nez normal, centré. Une bouche avec des lèvres très fines mais visibles, une bouche légèrement plus grande par rapport au reste de ton visage. Des dents alignés, il n'y a rien à redire là dessus. Pour finir sur cette partie, ton visage est ovale. Long en longueur, serré en largeur. Une tête à bonnet, dirait-on. Une peau légèrement mâte, bronzé, une peau plus ou moins lisse, sans boutons, sans cochonneries. Et puis on s'arrête là pour le visage, car le descriptif n'est pas ce qu'il y a de plus intéressant, bien que ce soit important et primordial. De la description pure et dure, que d'ennui.
Définissons ta tenue vestimentaire. Tu n'es pas du genre à te soucier du regard des autres. Tu n'aimes pas être traité de clochard, mais tu pourrais très bien prendre la même tenue que celui ci. Tu n'es pas non plus excentrique. Tu n'es pas non plus complètement ringard. En été, tu mets souvent des shorts larges, t'arrivant un peu au dessus des genoux, laissant apparaître le reste en enfilant des tongues. Oh oui, des tongues. Les chaussures les plus confortables quand il est question de sortir pour faire un tour. Tu aimes aussi les chemises à manches courtes, que tu laisses souvent ouverts, laissant apparaître ton corps, tu n'es pas prêt d'avoir honte, de toute façon. Et en saison plus chaude, des pantalons plus longs, évitant des jeans trop collants à la peau. Tu aimes te sentir à l'aise, tu préfères ça que de te sentir gêné par ton propre style vestimentaire. Ce que tu n'as pas, tu n'as pas de style à proprement parler. Tu as souvent tendance à prendre ce qui te passe en premier sous la main, rien de bien extravagant ou bien scandaleux non plus. Tu ne prêtes pas trop d'attention à ton style, ce n'est pas ce qui importe le plus. Qu'importe. Tu aimes les chapeaux, les casquettes, les bonnets, les bandanas. Tu peux en porter, tant que ça te va. Un de tes accessoires les plus accessibles. Et puis, ça doit être à peu près tout.
T'imagines-tu ?
• CARACTERISTIQUES PSYCHOLOGIQUES •
Pour faire court et simple, Judikael est un petit con. Aussi arrogant que niais. Aussi corrompu que simplet. Il constitue en lui même un pêché. Sa faute à lui, c'est d'être né. Né si abruti, si ignorant, si innocent. « Voici, je suis né dans l'iniquité, et ma mère m’a conçu dans le péché. » ;Judikael est un être infâme qui a déjà vendu son âme au diable, ou peut être à lui même. Il a été perverti d'une façon inexplicable, il est pourri jusqu'à la moelle. En réalité, ça ne se voit pas. Il ne le cache pas spécialement, il agit juste comme il est habituellement. N'étant pas un poil penseur, il ne réfléchit pas, ou jamais. Il est incapable de pressentir, il est incapable de cerner une personne. Il n'a aucun état d'esprit, il est parfois arrogant, parfois nounours, parfois comme un autre psychopathe banal. Il est moqueur, narquois, ironique. Aussi mauvais joueur et perdant, il n'a aucune fierté. Il n'a aucun orgueil, il ne sait pas ce qu'est l'honneur. Taquin et joueur, il aime les défis, il aime les relever. Bien qu'il soit mauvais joueur. On dit aussi que la curiosité est un vilain défaut. Il est vilain, qu'il est vil, ce Judikael. Curieux, il n'hésite pas à demander lorsqu'il ne comprend pas. Cette caractéristique peut être vu comme une qualité, mais ce n'en est pas un, car il en devient très vite épuisant, insupportable et agaçant. Ce qui le rend agaçant et insupportable est son côté je m'en foutiste, dans l'extrême, le grand fou. Le seul côté positif de ce gamin, est peut être son sourire, malgré son inadaptation à une vie sociale normale. Maintenant qu'il est décrit dans son ensemble, entrons dans les détails.
Allons-y franco.
Il manque de classe. Peu charismatique, il est décidément plus stupide qu'autre chose, ou du moins, il le paraîtra aux yeux des autres. Certaines personnes le trouveraient mentalement retardé, il n'est pas vraiment facile de lui faire comprendre une notion lorsqu'une idée se cloue dans sa tête. Très têtu, il est aussi difficile de lui oublier ce qui l'a marqué, de remplacer une idée déjà encrée. Mais d'un autre point de vue, objectivement, il peut être très censé, et parfois cohérent. Notez bien la supposition, il ne l'est pas tout le temps. Ce n'est pas toujours le cas ni toujours le bon moment, mais tant qu'il y a des personnes pour le comprendre, le monde est heureux. Tout va pour le meilleur dans le meilleur des mondes.
Il est aussi très franc, peut être trop grande gueule, il ne se fait pas aimé par n'importe qui. Aucun tact, aucune pitié. Que ce soit vexant, touchant, bête ou intelligent, tout sort tel qu'il le pense. Ce qui a tendance à le rendre peureux et lâche, subissant souvent les méprises de ceux qui l'entourent. Ayant aussi la manie d'enchaîner les insultes, et par la même occasion d'insulter tout son voisinage, il est facilement mal-aimé, détesté, disputé. Ce qui justifie les propos précédents. Désintéressé du monde qui l'entoure, il est terriblement insouciant. Inconscient de ce qui se trame dans ses alentours, insouciant de ce qui pourrait lui arriver à l'avenir, dans le présent. Pourquoi est-il comme ça? Pour rien. Vraiment pour rien, il ne peut se justifier. Pour en conclure, il est comme n'importe quel autre être humain, un peu plus dévergondé. Un peu plus sous-développé ou sur-développé. Il est comme tout autre. Un peu de sympathie, il n'est pas le seul malade ici.
Drôle. Marrant. Comique. Hilarant. Peut être pas jusque là. Décrivons-le tel qu'il est : drôle. C'est en réalité surtout sa connerie qui fait de lui un personnage si comique, comprenez. Il est de ce fait rapidement traité comme un gamin. Puéril, c'est ce qui le définit à peu près correctement. Immature et puéril, il est resté un éternel Peter Pan. En fait, on peut dire qu'il provoque le rire par sa stupidité, ou par son comportement. Il n'est pas spécialement drôle ou quoi, simplement lui même. C'est ici qu'est le problème. Sa nature même. Tout compte fait, il n'est pas un gamin à problèmes. Juste trop lui. Trop peu réaliste. Il est trop loin, tellement loin dans son propre monde, qu'il se croirait dans un monde féerique. Faute de trop de consommation d'hallucinogène, peut être. On ne sait jamais. Mais non, ne croyez pas, il n'est pas seulement drogué.
« I'm a fucking walking paradox, no i'm not ». Judikael est un paradoxe ambulant. Un lunatique, un égocentrique et égoïste incompris dans sa façon d'être. Il est en effet vulnérable et susceptible. Puis rancunier. Bien son insouciance face au monde, il est difficile de s'imaginer que cet adolescent puisse ignorer tout ce qu'il y a autour de lui à son aise. Fragile, faible, victime. Facilement irritable, il prend vite une attitude défensive qui a tendance à mettre mal à l'aise la plupart des gens, facilement victime et critiquable, il n'adhère pas aux insultes qui lui est destiné, mais il adhère totalement les insultes que lui oublie de taire. À la fois insensible et sensible, il est difficile à cerner. Susceptible, que dire. Il n'y a rien à ajouter mise à part le fait qu'il se froisse aisément. En plus d'être vexé, il est rancunier. Il ne pardonne pas. Jamais. Ou presque, excepté les exceptions (remarque utile, certes). Une pile sur patte. Il n'est jamais fatigué, il ne se lasse pas non plus. Il est hyperactif. C'est l'image qu'il se donne de lui même. Il aime bien bouger, l'ennui étant son pire ennemi. Il a tendance à beaucoup parler, bien qu'avec arrogance et méchanceté. Tenté et influençable, simplement manipulable. Et pourtant, paraît-il qu'il sait. Il sait tout. Mais ce n'est que la raison qui le pousse à agir comme un abruti.
Fou de la musique. La musique, c'est sa vie. Y'a pas à dire, toujours son casque avec lui, éternel amoureux de la musique, il est difficile de l'en détacher. En tout genre, tout ce qui sonne plaisant à ses oreilles, et pourtant, son esprit musical est à remettre en cause. Il n'a aucun rythme, comme il n'a aucun sens d'orientation. Il est dénué de tempo, incapable de chanter, de danser.
Enfoui sous cette image, Judikael est peut être pas ce qu'il paraît. Caché par son jeu de rôle si crédible, s'entasse une frustration qui n'en est pas un. Il sait. Tout est clair. Il a ses idées, il se sait méchant et con. Il agit de cette manière pour son propre plaisir, sa satisfaction. Il sait lorsqu'il est manipulé, il sait lorsqu'il est utilisé. Mais c'est sûrement son manque de fierté qui le fait arrêter de penser. Il sait réfléchir, il sait penser. Mais son esprit le lui interdit. Étrange, c'est le moins qu'on puisse dire, voyez. Il est fou. Fou. Fou. Aussi fou qu'un chien en rogne, fou comme un gamin. C'est un gosse, c'est la seule chose qu'on puisse lui reprocher. Un enfant qui ne cherche que son propre bonheur, même s'il ne fait rien pour l'obtenir, il le recherche parce qu'il en a terriblement besoin. Vous devez penser que le bonheur, c'est du hasard, vous devez vous en persuader. Ça ne s'obtient pas en faisant des efforts, ça ne se gagne pas. Rien que du hasard. Qui un jour, viendra toquer à vos portes, et vous faire jouir de la vie. Sans que vous compreniez pourquoi. Il attend, lui. Judikael. En bon petit enfoiré.
Abruti. Ce mot lui résonne dans la tête, et c'est le seul qui lui paraît à l'esprit. Tout s'explique ! Sous les insultes de ses propres parents, il ferme la porte de sa chambre et médite. Donc, il a tout compris, tout s'explique. Il était mauvais en cours, il était mauvais avec ses camarades, mauvais avec ses parents, mauvais avec ses enseignants. C'est du moins ce qu'on lui fait croire depuis qu'il est né. Mais tout s'explique par le fait qu'il est né stupide. Il n'est pas né intelligent, bien dommage pour lui. Il n'y avait pas un jour où il n'avait pas droit aux insultes de sa mère, de son père, des insultes qui ne l'atteignent même plus. C'est en ce jour merveilleux qu'il prend conscience de sa stupidité, en laçant ses chaussures. « Ah, bah merde. » -vous voyez le genre quoi. Depuis il n'en devient pas moins con, d'ailleurs, il n'a pas l'intention de se donner la peine de paraître ce qu'il ne peut pas être : intelligent. Et il ne veut pas avoir l'air crédible, il veut être ce qu'il est. Judikael n'aime pas les gens, c'est un associale. Il n'aime que quand il peut en tirer profit : à savoir la drogue, les fêtes, les filles et les garçons. Ce sont les seuls profits qu'il s'accorde. Il faut savoir, il est con, il ne sait pas se servir des gens non plus, hein. Il n'est rien d'autre qu'un pauvre maladroit délinquant de merde qui n'a pas choisi d'avoir ce caractère : il est poussé à vivre comme ça, ce crétin, contre son gré. Judikael, c'est le genre de type pourri qu ifait chier le monde sur le net, par exemple. Se faisant passer pour un putain de kikoolol pas drôle sur un chat. Rien que pour embêter les geeks, les no-lifes, les gens normaux. Les voir rager et le bannir au bout d'un débat à la con. Parce que c'est jouissif, et marrant. C'est aussi le genre de terroriste ridicule qui va taguer une bite sur le mur de son école. Un chieur-né. Un jeune qui s'assume pas, qui n'est né que pour faire chier, qu'un petit peu chieur sur les bords. Rien de grave, les amis.
Il s'est fait viré de chez soi, il ne remarque qu'alors qu'il est vraiment seul. Il s'est viré, et pourtant, quand il appelle ses pseudos-amis, la moitié ne répond pas, l'autre moitié raccroche au bout de deux secondes. En même temps, il ne sait pas s'exprimer. « Eh ducon, t'aurais pas... » -bip. Bip. Plus de réponse. Bah merde. Triste vérité, il n'a aucune personne sur qui compter. Bof, pas grave. Il va dormir dans l'école, infiltré dieu sait comment dans une salle de cours. Voilà, personne ne sait qu'il est sans domicile fixe. Évidemment, sa mère avec qui il vivait ne sait pas que Judikael est un sans ami fixe, quoique, même si elle le savait, elle l'aurait quand même jeté dehors. Pour le bien de son amant. Son amant, dont elle est folle amoureuse. La personne que Judikael déteste le plus au monde. L'amant de sa mère, il est pourtant gentil le bonhomme. Mais Judikael ne peut s'empêcher de l'insulter, de l'humilier en permanence. Il menaçait sa mère de le quitter s'il ne virait pas son fils. Bah, l'amour rend aveugle. Au point de chasser son fils de chez elle.
Puis un jour. Alors qu'il glandait dans un supermarché les mains dans les poches, se permet de manger des bonbons. Ceux que n'importe qui se doit de payer. Ceux dans les boîtes, là. Ben Judikael, l'air de rien, a ouvert une boîte et a bouffé tout son contenu. Mais le hasard fait bien les choses, il se fait prendre par le directeur, qui flânait entre les rayons, n'ayant rien à branler d'autres que de surveiller son supermarché. Alors d'abord, humiliation en public. Ou plutôt, il devient tout rouge et il crie des mots incompréhensibles en postillonnant. Putain qu'il est crad. Judikael, le regarde et part en haussant les épaules. Eh bien non. Il est emmené au bureau du directeur, traîné par le manche de son gilet. Judikael arrive dans son bureau, et touche à tout. Il a des livres, des papiers, des chaises. Il observe non sans admiration et sans indifférence. Il siffle, pas bien discrètement. Le vieux monsieur tout rouge lui fait signe de venir s'asseoir en face de lui. Judikael ronchonne et va s'asseoir confortablement, dans une position des plus impolis. Le petit monsieur commence son speech. Il l'engueule un peu, normal. Puis il lui demande de payer. Judikael lui sourit et lui montre ses poches vides. Ah, c'est bête, il est pauvre. Le petit monsieur redevient tout rouge, il demande le numéro de ses parents. Il lui donne. Il appelle. Sa mère répond, et lui prit d'appeler son père. Le petit monsieur appelle donc le père. Judikael hurle. « J'ai pas de père! » -Son père décroche, il râle et arrive dans le bureau. « Le gland que tu viens d'appeler n'est pas mon père, juste un glandu qui porte accessoirement le même nom qu'moi. » -Judikael et son père ne s'entendent pas. Ils sont ennemis parfaits, parce que justement, ils sont exactement les mêmes. Ils se tapent dessus à chaque regard de traveres, à chaque remarque déplacée. C'est pour cette raison qu'ils se sont séparés, la mère de Judikael et son père. Elle n'en pouvait plus, et pourtant, il l'aime encore, sa femme. Son ex-femme. Ah, on se disperse. Bref. Il arrive, comme un vieux clochard, les mains dans les poches, une barbe immonde et la dégaine d'un jeune. Judikael lui lance un regard, le vieux clochard vient lui prendre le col avec violence et toise le petit monsieur, qui rosit à vu d'œil. Il a peur, le fourbe. Il aurait pas dû appeler son père, hein ? Le petit monsieur s'explique en bredouillant. Il a pas envie de se faire violenter, donc il fait ça avec douceur, petit craintif. Le père râle et regarde Judikael. L'air grave, il a envie de lui gueuler dessus. « Tu peux partir, tu sais, personne ne te retient. » -son père lâche le col, pose des billets sur le bureau du petit monsieur et soupire. Puis sort. Il est pas si méchant, en fait. Le petit monsieur, satisfait, regarde Judikael avec un sourire victorieux. Le jeune hausse un sourcil, lève les yeux au ciel et agrafe la main du petit monsieur avec l'agrafeur géant qui se trouvait par là. Le petit monsieur hurle de douleur, Judikael sort du bureau, l'air de rien. Puis c'est la routine, une nouvelle fois.
Il dort dans l'école, se fait chasser par le concierge, il a été repéré. Merde. Plus d'endroit où dormir. Il songe à aller chez son père. Non, décidément, il n'arrive pas à se faire à l'idée qu'il doit voir ce trou du cul. Judikael retourne chez sa mère, discrètement. Il casse la fenêtre de la cuisine -aussi discrètement qu'il peut, bien évidemment, et s'infiltre dans sa chambre. Oh. Une lettre. Insouciant, il ouvre, musique à fond. Et comme un con, se retrouve sur une plage. A vu d'œil, une île.
Âge :  Comment avez vous découvert ce forum ? Pas vraiment nouveau, en réalité. Première impression ? êe. Juste intrigué. Vous pensez être très présent/assez présent/pas trop présent ? : Assez présent. Autre chose ? [Pavelquiaoubliésacouleur valide le code ~ ]
Dernière édition par Judikael Durden le Ven 17 Juin - 23:49, édité 10 fois |
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