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Tu n'as pas peur ? Ben tu devrais. [Declan Affricca Hogan]

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Anonymous
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Tu n'as pas peur ? Ben tu devrais. [Declan Affricca Hogan] Vide
MessageSujet: Tu n'as pas peur ? Ben tu devrais. [Declan Affricca Hogan] Tu n'as pas peur ? Ben tu devrais. [Declan Affricca Hogan] Icon_minitimeLun 31 Oct - 17:52

IDENTITE




Nom : Hogan, nom tout à fait Irlandais, dans la tradition traditionnelle, si je puis dire.

Prénoms : Declan, et de son deuxième prénom Affricca. Coïncidence ? Je ne pense pas.

Nom de code : Frozen Desert

Âge : 20 ans

Nationalité : Irlandaise

Orientation sexuelle : Indéterminée. A priori, Declan serait plutôt hétérosexuel, parce qu'il considère cela (à tort ou à raison) comme l'orientation la plus "normal" en pratique, il n'en sait strictement rien, et d'ailleurs cela ne l'intéresse pas.

Métier : Vigile à la mairie

Plume souhaitée : Méduse : lorsqu’il le veut, Declan peut transformer en pierre ceux qui le regardent dans les yeux.

Plume attribuée : Recevoir la douleur d'autrui : De manière totalement involontaire, il arrive régulièrement à Declan de ressentir la douleur des autres, en général physique et, plus rarement, mentale. Il faut pour cela qu'il soit attaché sentimentalement à la personne, ou qu'il soit à moins de deux mètres d'elle.

Quartier : Bloody Lane semble réellement être le quartier le plus adapté.
Tu n'as pas peur ? Ben tu devrais. [Declan Affricca Hogan] Declan12



CARACTERISTIQUES PHYSIQUES




Par ou commencer… Declan est… Grand. Très grand. Très très grand même, puisqu’il mesure pas loin de deux mètres, en fait un mètre quatre-vingt dix-sept. En plus d’être grand, il est svelte, ce qui renforce cette impression qu’il est filiforme. Des détails aussi renforcent cette illusion : un cou long et plutôt maigre, des bras longs, et de grands pieds et mains.
Declan possède des cheveux vert foncé, couleur qui n’est bien sûr pas naturelle puisqu’à la base il est blond vénitien, et qu’il a teint pour aller avec ses tenues habituelles, en général kaki, motif camouflage, vert foncé (et même parfois, plus rarement, vert clair), ou noir.
Ses yeux, eux, sont d’un vert clair presque jaune, avec des paillettes dorées, une couleur assez inhabituelle mais transmise dans sa famille, du côté paternel. Declan a donc les mêmes yeux que son père, son grand père, son père avant lui etc. Il possède une peau plutôt pâle, comme beaucoup d’Irlandais, mais n’a pas de tâches de rousseur.
Pour en revenir à sa musculature : Declan n’a rien d’un gringalet, mais ses muscles ne sont pas ceux d’un culturiste, et il n’a absolument pas un gramme de graisse : il est particulièrement sec, comme on dit. Bref, il est taillé pour réussir les combats au corps à corps, à mains nues ou à l’arme blanche.
Son visage est taillé en lame de couteau, comme pour s’assortir au reste de sa personne. Il est plutôt fin, avec un nez droit et pointu au bout, des pommettes saillantes, des arcades sourcilières presque tranchantes, des lèvres plutôt fines et tordues en un rictus mauvais, moqueur, ou en une moue cynique. Lorsqu’il montre ses dents, on croirait presque que ses dents sont pointues, comme si elles avaient été limées. Pourtant je vous rassure, ce n’est qu’une impression. Même si il faut avouer que ses canines ont quelque chose de crocs, et que son sourire est trop blanc pour être sympathique.
Comme je l’ai déjà dit, il s’habille en général en tenue de camouflage, en tenue militaire ou en noir. On le voit le plus souvent avec une veste à motif camouflage, une chemise kaki, un T-shirt noir à manches longues ou courtes, un pantalon de treillis plus ou moins large, avec des chaussures quelconques, il peut en changer, mais en revanche il a toujours au moins son coutelas sur lui, dans une botte si il porte ces chaussures là, dans son caleçon, sa ceinture ou un holster sinon.
L’impression générale qu’on a de lui est donc celle de quelqu’un d’agressif, de fort et pourquoi pas de vraiment méchant et violent, peut-être incontrôlable. Il n’y a que de rares moments où il semble quelque peu s’adoucir, ou peut-être est-ce simplement qu’il arrête de faire ce sourire carnassier et effrayant.





CARACTERISTIQUES PSYCHOLOGIQUES




Ahhh, le caractère de Declan. Voilà sans doute la partie la plus intéressante de sa personne, disons scientifiquement parlant. Non, on ne peut pas dire que Declan est vraiment schizophrène, ni même qu’il est vraiment lunatique : il ne change pas d’humeur comme de chemise non, il est toujours d’humeur égale : il ne décolère pas. Disons qu’il est quelqu’un de très sauvage, de très bestial : il aime se battre, il aime la violence et l’adrénaline. Son corps est adapté à son esprit : taillé pour le combat, quel qu’il soit. Et sa mentalité est particulièrement particulière. Et quand je dis ça… Declan est quelqu’un à qui il est impossible de résister. Pas parce qu’il est particulièrement fort en rhétorique ou qu’il vous fait des yeux de biche ou de chaton pour vous décider. Non, avec lui, tout prend des allures de prise d’otage. Il vous décide parce qu’il vous fait terriblement peur, et que vous n’avez pas envie d’être dévoré. Même si la plupart du temps, il se contente d’astiquer son coutelas et de graisser son holster avec un sourire de fauve aux dents qui semblent vraiment pointues, il lui arrive de passer vraiment à l’action. Il n’a jamais tué personne sur Esplumoir, loin de là, même si il a dû traumatiser un certain nombre de jeunes : toujours à l’affût, il a la dégaine facile, le coup de coutelas un peu trop vif, et prend son rôle vraiment (trop) au sérieux. En dehors du travail, il n’est pas particulièrement sympathique, et ne perd d’ailleurs pas une occasion d’en découdre avec qui que ce soit. Mais en général, il a plutôt l’air blasé, ou bien il semble qu’il prépare un mauvais coup. Il est très, très rare qu’il soit câlin, même si il n’ose pas repousser les gens qui font preuve d’affection envers lui, n’étant pas vraiment habitué à ces marques de tendresse. Mais spontanément, il n’ira pas de lui-même montrer son affection à quelqu’un (déjà c’est rare qu’il en ait, pour lui les gens se distinguent en deux catégories : ceux qu’il supporte, et ceux qu’il ne supporte pas.), ou alors il faut se poser des questions très sérieuses. Les personnes face auxquelles il est le plus déstabilisé sont celles qui sont mignonnes ou gentilles sans rien attendre en retour. Face à elles, il n’arrive pas à se mettre en colère, rougit et bafouille, bref un vrai timide. En même temps, il n’assume pas du tout sa sexualité ni le fait qu’il pourrait avoir des sentiments : il a du mal à se rendre compte qu’il n’est pas uniquement une machine de guerre, mais aussi un être humain avec des sentiments.







HISTOIRE




Aussi que je me souvienne, j’ai toujours aimé me battre. Déjà tout petit je voulais tout le temps faire ça. Quand je suis né, à ce qu’il paraît (à Foxrock, ville Irlandaise proche de Dublin), à ce que racontait ma mère quoi, j’ai mordu le doigt de la sage femmme. Comme j’avais pas de dents, j’imagine que ça lui a rien fait, mais apparemment l’agressivité était déjà là. En grandissant ça ne s’est pas amélioré. Je tirais les cheveux des filles, me battait avec les garçons, donnait des coups de pieds aux adultes, et tout le monde y compris moi en ressortait avec bosses, bleus, griffures et morsures. Après moult punitions, je finis par passer au collège. Et alors là, c’était pire. Je me battais déjà à main nues, et on m’avait conseillé de me mettre au sport pour gérer mes pulsions. Comme je n’avais pas envie de faire un sport de combat, par dégoût pour les règles sans doute, j’ai commencé le handball, mais ça n’a rien arrangé, au contraire, les matches étaient des raisons de plus pour me battre avec tout le monde. Une faute présumée, un mauvais perdant, et ça dégénérait. En général c’était moi qui gagnais. Sauf que pas toujours. Et ça me frustrait. Donc j’ai commencé à faire plus de sport, un peu de musculation, et à manger de la viande rouge (paraît que c’est bon pour les muscles.), tout ça dans le but de ne plus jamais me faire rétamer par qui que ce soit. Et le mieux vous savez quoi ? C’est que ça a marché. Je me suis mis à faire manger leurs dents à tous les petits caïds qui croyaient pouvoir rivaliser. Il faut dire, j’ai de la chance, j’ai toujours été grand, très grand, et plutôt musclé. Pourtant avec mes allures de girafe dégingandée, on aurait pu penser que je ne valais rien au corps à corps. Bref, vous l’aurez compris, ma scolarité a été totalement chaotique, d’exclusion en blâmes, de blâmes en conseils de disciplines, puis à nouveau en exclusions… Pourtant j’ai passé divers examens, que j’ai toujours eus en frisant l’échec. Mais pour moi ça n’avait pas d’importance, non. Tant que j’étais respecté et que je pouvais faire goûter mes poings à des gamins insupportables. Bien sûr on m’a envoyé chez un psy. Echec total.


« Vous savez, Madame Hogan, votre fils, vous devriez peut-être le faire consulter… Peut-être que ça aiderait tout le monde ? »

Cette simple phrase a été le catalyseur de mon envoi chez le psy. Je suis en face de ce mec barbu, roux, avec un polo bleu clair sous son pull bleu marine, et l’air posé. D’emblée je le classe dans la catégorie des gens qui m’insupportent. Avant même qu’il ait ouvert la bouche. Je n’ai que 13 ans, et pourtant je suis convaincu que ce vieux gros ne fait pas le poids face à moi au corps à corps. On se regarde dans le blanc des yeux pendant pas mal de temps, je saurai pas dire combien. Je sais qu’il attend que je parle mais je compte pas le satisfaire. Finalement, c’est bien lui qui parle.

« -Alors, Declan, comment vas-tu ? »

Je fais une moue méprisante suivie d’un sourire carnassier.

« -Ca vous regarde pas. »

Il n’a pas l’air tellement déstabilisé. Ca m’énerve encore plus. J’ai envie de lui sauter à la gorge.

« -Ta mère t’a amené ici, Declan, c’est que tu dois avoir des choses à dire ? »

Je ne réponds pas, je m’enfonce dans le fauteuil un peu plus, et je croise les bras. Je ne dirai rien. No way. Vas te faire foutre le vieux. Et je n’ouvre pas la bouche du reste de la scéance. Quand ma mère revient me chercher, je ne prononce pas un mot non plus. Ni dans la voiture, ni à la maison. Je ne suis pas retourné chez le psy. J’ai gagné.



J’ai oublié de le dire, quand j’ai eu neuf ou huit ans, j’ai eu un petit frère. Aedan. Une adorable petite chose couverte de tâches de rousseurs. Autant vous dire que je l’ai toujours détesté. Dès le départ. Pas que j’ai été jaloux de l’amour que mes parents lui portaient, non, ça je m’en foutais royalement. Mais avec sa tendresse, son caractère de guimauve, il m’insupportait.
Bref, j’ai pris encore plus de distance avec ma famille, de toute manière mon caractère colérique, emporté, et violent les désespérait. Surtout ma mère. Je l’ai faite pleurer un nombre inimaginable de fois.
Donc je suppose que quand j’ai eu 17 ans et que je me suis engagé dans l’armée, ça a été pour eux un soulagement. Je suis parti sans me retourner, après de brefs adieux. Je savais que je ne reviendrai jamais.
Donc, je suis entré dans l’armée, pour être exact dans la légion étrangère. Mais j’y suis resté moins d’un an, encore une fois à cause de mon agressivité et de mon indiscipline. J’avais tout juste 18 ans quand ils m’ont donné mon chèque, m’on remercié et m’ont lâché là où on était, c'est-à-dire en Côte d’Ivoire. Le conflit était en quelque sortes terminé, mais ça ne m’a pas empêché de très bien m’adapter. A partir de ce moment là, j’ai flirté avec les réseaux de mercenaires, divers trafics et mafias. Et puis, à un moment donné, j’ai ai eu ma claque, et j’ai remonté l’Afrique vers le Nord. Vers la Tunisie, la Lybie, et la Syrie. Je suppose qu’il m’est arrivé de tuer. A vrai dire je ne me souviens pas très bien. Sauf une fois. Une seule. Là j’en suis sûr.

Nous sommes près de Tripoli, le 15 mai 2011.
Il fait chaud. Nous sommes au milieu de presque rien. Des broussailles, des buissons épineux et quelques arbres rachitiques, une route, des cailloux, sous un soleil de plomb. Plus loin, un attroupement, un genre de bataille. Mais là, ce que l’on voit, c’est deux hommes qui se font face, l’un plus grand que l’autre, plus pâle et aussi plus maigre. Il tient un coutelas souillé de sang dans la main droite, et a un sourire à faire peur.
L’autre semble à la fois effrayé et excité. Il a tenté de fuir mais ce gringalet immense l’a rattrapé. Il tient lui aussi une arme, un genre de gros tuyau en métal.
Un instant de silence, et puis soudain le ciel semble se déchirer. Les deux hommes prennent ça pour un signal. Ils se jettent l’un contre l’autre. Le plus grand enfonce plusieurs fois son couteau dans le ventre de l’autre, attrape son visage et le bascule en arrière pour tendre sa gorge, qu’il lacère. Il est éclaboussé par le sang.
Il recueille les derniers instants de son adversaire avec respect. Cet homme s’est battu pour un idéal. Chose dont lui est incapable.


Lui, j’en suis sûr. J’ai recueilli son dernier souffle dans le creux de mes mains. Je n’aime pas tuer. J’aime me battre. Nuance.

J’entre dans ma tente, au camp. Je suis couvert de poussière, et de sang à peine sec. Je viens de tuer l’homme. J’attrape un tissus et me le passe sur le visage. On voit à peine la vraie couleur de ma peau tellement je suis sale. Je tripote un instant mon collier ou je porte mes plaques de l’armée. Je range mon coutelas dans mon calebut, et puis, alors que je me prépare à repartir, j’avise une enveloppe sur mon lit. Je l’attrape, déchire le papier, l’ouvre sans un mot, commence à lire et…



…Je suis réveillé par une sensation mouillée sur mes pieds. Pourtant j’ai des chaussures. Je me redresse et prend conscience que j’ai les pieds dans une eau tiède et claire. Qui a imprégné mes godasses. Bordel de merde. Je regarde autour de moi. Ok. Je suis sur une plage. Je réfléchis environ cinq secondes et je me lève. J’enlève mes chaussures et mes chaussettes qui pourraient m’handicaper en cas d’affrontement. Mais je ne vois personne. Et là je lève ma main à hauteur de mon visage, juste à temps pour voir une plume s’enfoncer dans la paume. Je n’ai même pas le temps de paniquer, je me sens étrangement bien. Serein. Comme si j’avais retrouvé une partie de moi qui me manquait.
Etrange. Je secoue la tête et chasse ces enfantillages de ma tête.
Je commence à marcher, et je m’enfonce dans ce qui semble être une île. J’arrive dans un village, menace le premier habitant que je croise, et il m’indique la mairie. J’y entre, furieux, mais ce qu’on me dit me calme. Me blase plutôt. Rester sur cette île ? Ma foi, pourquoi pas. Après tout, ça ne change pas grand-chose.






DERRIERE L'ECRAN



Âge : 17 ans.

Comment avez vous découvert ce forum ? Euh, j’sais plus.

Première impression ? C’est cool, ouais, c’est très cool.

Vous pensez être très présent/assez présent/pas trop présent ? : Je saurai pas dire, le plus présent que je pourrais...

Autre chose ? Hm, j’ai faim. (Ok - Alix ♥) -W-



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Alix D. De Vladinck
Alix D. De Vladinck

Avenue of the Roses
Admin tonique

Avenue of the RosesAdmin tonique

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Age : 27
Date de naissance : 12/02/1997
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Tu n'as pas peur ? Ben tu devrais. [Declan Affricca Hogan] Vide
MessageSujet: Re: Tu n'as pas peur ? Ben tu devrais. [Declan Affricca Hogan] Tu n'as pas peur ? Ben tu devrais. [Declan Affricca Hogan] Icon_minitimeMar 1 Nov - 0:51

BIENVENUE DECLAN !



Identité :
• It's Ok, darling. ♥

Physique :
• Same thing, my love. ♥ //suicide
• Fais juste attention aux répétitions.

Psycho :
• Sympathique. Heureusement qu'il a des sentiments. Ça fait vraiment trop ... Trop après. .__.

Histoire :
• Joliment écrite, j'aime. :DD

Profil :
• Ok, darling. ♥

Tu es validé, Sir !

Tu n'as pas peur ? Ben tu devrais. [Declan Affricca Hogan] 738426Lunatic
[ Je tiens à préciser que l'image est de moi. ♥ ]
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Invité

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Tu n'as pas peur ? Ben tu devrais. [Declan Affricca Hogan] Vide
MessageSujet: Re: Tu n'as pas peur ? Ben tu devrais. [Declan Affricca Hogan] Tu n'as pas peur ? Ben tu devrais. [Declan Affricca Hogan] Icon_minitimeMar 1 Nov - 0:57

Haha, merci Darling (ouais, finalement je suis pas encore sorti dans la rue xD Mais ça ne saurait tarder) ! Hanwais, pour les répétitions j'avoue que j'avais pas fait gaffe...
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Tu n'as pas peur ? Ben tu devrais. [Declan Affricca Hogan] Vide
MessageSujet: Re: Tu n'as pas peur ? Ben tu devrais. [Declan Affricca Hogan] Tu n'as pas peur ? Ben tu devrais. [Declan Affricca Hogan] Icon_minitime

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Tu n'as pas peur ? Ben tu devrais. [Declan Affricca Hogan]

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